Romeo Angel Levinson

Whos said that no one is alone ?

Pudding Fish and Chips Pie and Mash Inventé Scénario Post-Vacant

→ Informations ← Je me surnomme Rom, Romy, je suis né le 12 Octobre 1991 à Londres, ce qui fait que j'ai environ 23 années. Je suis secrétaire de service à l'hôpital et serveur au Push Baby Push la nuit. On me dit souvent que je suis : attentionné, observateur, charmant & arrogant, prétentieux, moqueur. Et parfois on trouve que je ressemble à Josh Hutcherson. → Caractère ←• Tu es plutôt thé ou café ? Café seulement. • Rock ou Classique ? J'aime le bon rock, mais j'apprécie aussi le classique de temps en temps. • Homme, femme ou les deux ? Tout le monde pense que c'est les femmes, alors que c'est plutôt l'autre en fait. • Tu es quel genre d'ami Le genre qui ne se retient pas de faire des gestes d'attention, qui câline souvent, mais qui adore taquiner voire même se moquer parfois. •Fête entre ami ou câlin devant la cheminée ? C'est une vraie question ? Il n'y a que la fête qui compte évidemment. • Sucré ou salé ? Salé, j'peux même t'en manger une poignée si tu m'en proposes. • Que penses-tu de la guerre à l'université ? Je m'en fous, ça me fait plus chier qu'autre chose et personnellement, je l'évite le plus possible.• As-tu peur depuis l'attentat ? Si j'avais peur de la mort, je n'oserais pas traverser la route chaque matin de peur de me faire renverser par accident. Et puis, qui sait vraiment ce qui nous attends après la mort. • Johnson est-il bon pour la ville ou néfaste ? J'en sais rien et je ne me pose pas la question. Lui ou un autre, ça m'importe peu. Real life → Je me surnomme Sushi, j'ai environ 18 années. Je viens de toujours la France. Ce que je pense du forum : J'dois le redire ? Bah je l'aime tout simplement et où je l'ai connu On s'est rencontré un beau soir de printemps . Je pense que j'aurais besoin d'être parrainé : Nop, toujours pas. Et enfin voici le code que j'ai trouvé dans le règlement Parce que l'amour c'est essentiel!. PS : Je dois mes avatars, îcones, gifs à tumblr.

fiche entièrement réalisée par Saku

This is a true Story

All I need is love.

« Alors Docteur, de quoi il s'agit ? » Le médecin d'un certain âge semblait être totalement pris par ses dossiers et ne faisait plus attention au reste. Il avait une mauvaise nouvelle à annoncer à la jeune femme assise en face de lui, mais il ne savait pas comment le faire. D'autant qu'elle semblait inquiète et effrayée du fait qu'il ne lui dise rien. Il a finalement décidé de tout avouer d'un coup. « J'ai bien peur que... Que vous ne puissiez plus avoir d'enfant, je sus navré. » La jeune femme semblait légèrement troublé, mais surtout surprise. Elle avait déjà un beau petit garçon qui s'appelait Dwayne, mais elle avait toujours voulu avoir plusieurs enfants, pour ne pas qu'ils se sentent seuls. Elle remercia le médecin avec un air triste qu'elle ne pouvait réprimer avant de rentrer chez elle. Dès qu'elle a ouvert la tête, une petit garçon à la mine réjouie s'est jeté sans ses bras et l'a serré contre lui avant de la regarder d'un air étonné. « Pourquoi t'as l'air triste Maman ? » Ce n'était pas à cause de cet homme qu'elle avait tant aimé et qui avait fini par l'abandonner comme si leur histoire n'avait rien été. Non, c'était la récente nouvelle qui la bouleversait. « Rien mon chéri, je vais bien. » Elle lui fit un sourire que ce dernier lui rendit de toutes ses dents. « Bon allez, je crois bien que c'est l'heure du goûter » Le garçon en fut d'autant plus heureux et la mère décida de profiter de son enfant. Même si elle n'en avait qu'un, c'était mieux que rien et c'était déjà suffisant pour elle.

Elle avait peur. Nora avait peur. C'était comme ça que la femme s'appelait. Depuis cette nuit où elle s'était promenée seule dans son quartier et où un homme dégoûtant avait réussi à pratiquer ses besoins les plus primaires de force avec elle. Ce soir où elle s'était sentie complètement souillée et où elle n'a pas pu s'empêche de pleurer à chaude larme. Ce soir où son fils qui était maintenant plus âgé avait connu la plus grande colère de sa vie, bien qu'il n'avait pas vécu beaucoup. Elle se retrouvait encore dans ce bureau, face à ce médecin et elle se rappelait de cette fois où il lui a annoncé qu'elle n'aurait jamais plus d'enfant. « Je n'y comprends rien... » Qu'est-ce qu'elle pouvait bien avoir encore. Est-ce que cet homme lui avait donné le sida ou quelque chose comme ça ? Elle était inquiète et commençait à s'impatienter. « Madame Levinson, j'ai l'honneur de vous annoncer que vous êtes enceinte. » Elle n'en croyait pas ses oreilles. Comment cela pouvait-il être possible ? Et quelle était cette blague qu'on lui faisait ? Elle ne croyait ne plus jamais pouvoir enfanter et la seule fois où finalement elle le peut, c'est avec un enfant qu'elle a eu au cours d'un viol. Elle ne savait pas que faire, elle était perdue. Elle pensait à avorter ou bien à donner l'enfant une fois qu'il viendrait au monde. Comment pourrait-elle aimer un enfant issu d'une situation si horrible ?

« Arrêtez de vous chamailler les enfants ! » Alors que mon frère était assis sur moi en position de force, nos deux têtes se sont tournées au même moment, mais nous n'étions pas prêt de nous arrêter. Je me débattais de toute mes forces en vain. Ce n'était pas juste après tout, mon frère avait sept ans de plus que moi alors il avait toujours l'avantage. Il s'est finalement relevé et m'a aidé à faire de même. « C'est pas juste, t'es le plus grand alors c'est normal que tu gagnes tout le temps ! » Il faisait mine de se moquer de moi avant d'aller vers le salon où notre mère regardait tranquillement la télévision. Nous nous sommes installés à côté d'elle sur le fauteuil miteux et nous nous sommes blottis contre cette source de chaleur réconfortante et rassurante. Même si nous étions loin de vivre dans le luxe, j'étais heureux d'avoir ma famille auprès de moi. Je n'avais pas de père et ça, j'avoue que ça me manquait, mais ma mère m'a dit qu'on était bien mieux sans lui alors je la croyais. Qu'elle m'a dit. Je ne comprenais pas vraiment, mais bon, je me contentais de cette explication. Quoiqu'il en soit, c'était une bonne période pour nous tous.

Je pleure, j'ai mal, très mal. Comme si mon cœur allait exploser. Je ne comprends pas et je me tourne vers mon frère qui est le seul près de moi. Je vois qu'il veut pleurer aussi, mais il tente de rester fort face à toute cette peine et cette souffrance. Il me tient la main pour me rassurer et je me demande s'il comprends quelque chose, lui. Je me retourne vers ce trou que l'on a fait dans le sol, ce trou où le corps de ma mère repose désormais. Je sais qu'elle était malade, c'est le docteur qui nous l'a dit. Je ne sais pas ce qu'elle avait, mais ça faisait apparemment un moment qu'elle le savait et elle ne nous avait jamais rien dit. J'avais terriblement mal au coeur et à la tête. Je ne comprenais pas pourquoi on nous l'avait enlevé alors qu'elle ne le méritait pas. Désormais, il n'y avait plus que Dwayne et moi. Qu'allait-il advenir de nous ? « T'en fais pas Romy, ça va aller, tout va bien aller. On restera toujours ensemble, on est une famille après tout. » C'est ce que disait Maman alors qu'au final, elle savait qu'elle allait mourir. Elle nous avait menti et maintenant, on était perdus et blessés. Mais je ne lui en voulais pas, ce n'était pas possible en fait. Je l'aimais trop pour m'énerver contre elle et même si j'étais en colère parce que je l'avais perdu, je ne pouvais pas la rejeter sur elle. Je pouvais compter sur mon frère désormais. Après tout, ça faisait un ans qu'il était majeur déjà et il était fort. Heureusement qu'il était encore là, lui. Il m'a pris dans ses bras et s'est enfin laissé pleurer en cachant son visage contre ma veste. Je me laissais aller aussi, nous devions laisser notre peine s'exprimer en ce moment de chagrin.

« Bah alors, pourquoi tu ne manges pas ? » J'observais mes pâtes encore chaude et je ne pouvais pas lever ma tête de mon assiette. Il fallait que je le dise à mon frère, c'était lui qui m'avait élevé et j'étais sûr qu'il le prendrait bien. Mais c'était tellement compliqué et au fond, j'avais peur. J'ai déglutit difficilement avant d'enfin pouvoir lever ma tête vers Dwayne. « Je... J'ai quelque chose à te dire en fait, mais... C'est pas facile du tout... » Il m'a souri pour me réconforter et peut-être parce qu'il était un peu amusé aussi, mais ce n'était pas amusant du tout. Il m'encourageait à tout dire du regard, mais je n'y arrivais pas. J'ai pris une grande inspiration. « Bon, alors voilà... Je... J'aime les hommes. » Je tremblais légèrement, j'avais le cœur qui battait à cent à l'heure et j'aurais préféré m'évanouir sur le moment. Mon frère m'a regardé d'un air surpris avant de prendre un autre air blessant et horrible. Il avait un air de dégoût. Il s'est levé de table et s'est enfermé dans sa chambre. Je ne pourrais jamais oublier son regard et depuis sa réaction, je n'ai dit qu'à deux personnes seulement que je préférais les hommes. Je ne veux plus qu'on me regarde comme lui l'a fait. Quelques jours plus tard, Dwayne à fait ses valises parce qu'il disait ne plus pouvoir vivre avec moi et a quitté la ville. Je ne sais pas où il est allé, je n'ai plus eu aucune nouvelle de lui. J'avais tout juste dix-huit ans et je devais trouver un moyen de subvenir à mes besoins. Je devais me trouver un travail.

La musique, l'odeur de l'alcool et d'autres choses aussi, cette ambiance qui est là pour éveiller l'appétit sexuel de ces hommes tous plus répugnants les uns que les autres. Ces hommes que je me dois de servir étant donné que c'est mon boulot ici, au Push Baby Push. Je connaissais plus ou moins cet endroit depuis mon enfant puisque je vivais dans le quartier où il se trouve. C'était le seul endroit qui m'a pris après le départ de mon frère et c'est grâce à mon boulot de serveur ici que j'ai pu gagner ma vie, même si ça ne me plait pas vraiment de travailler ici. Une main vient tapoter mon épaule et je me retourne avec un sourire en voyant ma meilleure amie. « Pfiou, fatigante cette soirée. » La pauvre se retrouve dans une situation pire que la mienne encore. Je ne sais pas comment elle fait pour ne pas gueuler un bon coup et tout envoyer foutre. Mais je lui admire son courage, même si je n'aime pas trop qu'elle garde tout pour elle comme elle le fait. Enfin, je lui sert un petit quelque chose pendant le peu de temps où elle ne doit s'occuper de personne. « Tu m'étonnes, y a encore plus de monde que d'habitude. » Ça me dégoûte de voir tous ces hommes prendre des jeunes femmes comme des moins que rien et remuer la queue au moindre de leurs mouvements. Heureusement que Juliet était là. Ma Juliet. On était fait pour s'entendre après tout. On était comme Roméo et Juliette, mais en amis. Elle m'a finalement embrassé avant de retourner travailler et je l'observais s'éloigner avec compassion. J'espérais qu'un jour, elle se sorte de cette misère qu'elle n'a jamais mérité. J'étais prêt à l'aider

Je m'allonge sur le côté, dos à Nolan, alors que lui s'allonge sur le ventre. J'ai tellement mal et pourtant, je me sens tellement bien. Chaque fois que je fais l'amour avec lui, ce sont des instants magiques et mon coeur bat la chamade. Mais chaque fois que ça se termine, j'ai l'impression qu'il joue simplement avec moi et qu'il se fiche de tout ça et de mes sentiments. Je l'aime, je le sais et je ne peux pas m'empêcher d'aller vers lui à chaque fois, même si je me sens blessé. « Au fait, Romy, j'ai enfin réussi. A partir d'après-demain, tu es secrétaire dans mon service à l'hôpital. » Je me tourne vers lui avec un grand sourire sur le visage. Je suis tellement heureux d'avoir enfin un métier stable et en plus, je le verrais encore plus souvent qu'avant. Il me regarde avec des yeux tellement tendres avant d'attraper mon menton et de m'embrasser passionnément. J'aime tellement ses baisers, son corps, ses yeux, son caractère. Oui, je suis fou amoureux. Fou amoureux d'un homme marié qui n'éprouve sans doute aucun sentiment à mon égard. Je suis certain qu'il ne fait ça que pour le sexe et je ne pourrais pas le supporter si c'était le cas. Quoiqu'il en soit, je savais que je ne pourrais pas supporter cette relation indéfiniment, mais en attendant, je me tais. L'amour, ça rend vraiment stupide.

fiche entièrement réalisée par Saku

Oyé oyé tu es validé(e)

Félicitation à toi mon Romeo, nous pouvons désormais te compter parmi nos puddings adorés. Je tiens à te dire que j'ai aimé dans ta fiche TOUT TOUT TOUT.... et puis si Yang approuve, j'approuve aussi o/ Voici une liste de directive à suivre afin de t'intégrer au mieux dans notre univers, en cas de soucis, n'hésite pas à contacter un des administrateur. Encore Félicitation à toi et Bienvenue sur SJH, London in the City

→ Trouve-toi un toit
→ Exprimes-toi !
→ Demandes des amis
→Signales tes ulcères.

Voilà, n'hésites surtout pas à contacter Gabriel ou Destiny en cas de besoin, nous n'avons pas de système de parrainage pour le moment sur le forum, nous nous occuperons bien de toi malgré tout ! Encore merci d'être parmi nous On t'aime