•• Kosma-Morgana Penelop

Dalton ••

•Just put your paws up •

I am who I am • Age : 21 ans • Date & Lieu de Naissance : Londres, 24 avril 1991 • Métier : Mannequin • Groupe : Le peuple • Situation : Libertine • Sexualité : ♂♀

And also a Player • Age : • Surnom : Detonah' • Fréquence de connexion : 4-5 jours/7 • Comment ? : T'aimerais le savoir, avoue? • Célébrité : Kat Graham • Code : Spoiler: • Autre ? : C'est à mon tour de dire une plaisanterie?? Eh bien.. Une plaisanterie!

•• And this is who I am ••

My Mind

Je ne saurais vraiment me définir, je ne saurais placer des adjectifs me qualifiants, je ne saurais vous décrire ma façon d'être en société. Mais pour votre propre bien ainsi que pour le mien, je tenterai d'éclaircir les parts d'ombre afin d'y apporter un peu de lumière et de clarté.
Je suis une jeune femme remplie d'une énergie particulière, une énergie qui peut s'avérer autant négative que positive. Je peux me montrer douce, compréhensive, à l'écoute et débordante de joie de vivre. Je ne peux contenir cette joie, il me faut donc l'exprimer par différente manière. Que ce soit mes vêtements légèrement excentriques, provoquant pouvant choquer par moment ou par mes paroles, mon attitude.. Je suis incapable de rester en place. Il me faut mon espace, là où l'air est frai et pur, là où je pourrais crier sans retenu telle une hystérique bonne à enfermer. Ce que les gens pensent de moi m'importe. Je suis ce que je suis et non ce que les autres veulent que je soit.
Mais malgré ce trop plein de bonheur et de gaieté, se cache en moi une partie sombre, noire.. Je ne peux la contrôler, je ne peux 'empêcher d'émerger. Elle fait partie de moi depuis le jour où j'ai vu le jour. Je peux me montrer agressive, violente, blessante. Je suis autant un danger pour les autres que pour moi-même. Par moment, on peut avoir l'impression que je fixe un point quelconque perdu dans mes pensées mais en réalité, je cherche un moyen de nuire à autrui. Je suis doutée d'une intelligence particulière. Parfois, j'ai la nette impression d'entendre une voix dans ma tête me dictant ce que je dois faire pour arriver à mes fins. Je suis une jeune femme diabolique et perturbée à la fois.
Pour être exacte, je souffre de trouble bipolaire phase deux.. Une explication à mon curieux comportement!

My Story

Je suis née en Angleterre, dans la belle ville de Londres, un soir d'hiver, le vingt-quatre avril mille neuf cents quatre-vingt-onze. Je suis issue d'une famille noble anglaise, des Lords. Je suis à moitié anglaise ainsi qu'afro-américaine. Le mélange est assez explosif, il faut le reconnaître. En temps normal, les familles de la noblesse n'aiment pas vraiment ces genres d'alliance avec de simple roturier. Mais comment lutter contre l'amour qui unit deux personnes? Mon père est donc Lord Dalton, un homme assez stricte et très exigeant. J'ai donc vécu dans un cadre structuré, sain et très à cheval sur le langage, le respect d'autrui. Je devais être une petite fille exemplaire et disciplinée.

Pour mon éducation, mon père était plutôt pour l'école à la maison. Je prenais des cours de violon tous les mercredis et samedis après-midi et j'avais des professeurs particuliers m'apprenant tout ce dont je devais savoir voir même plus qu'un élève qui irait à l'école. Je trouvais cette idée satisfaisante, et bien plus intéressante. Ainsi, je n'avais pas à faire la connaissance de jeune primate doter d'un caillou à la place du cerveau, brayant pour un rien, ayant un langage des plus inconvenants, des vêtements achetés chez leur magasin discount favori... J'en avais des nausées rien que d'y penser. Me mêler à des individus de bas étage était tout à fait hors de question. Je fus donc satisfaite des cours dans ma grande demeure les quatre premières années mais je m'en lassai assez rapidement. C'est ainsi que mon père eut la bonne idée de non seulement régler mon problème de solitude mais aussi de me faire découvrir un tout nouvel environnement.

A quinze ans, je fus donc envoyée dans un pensionnat très réputé aux Etats-Unis dans la ville de New-York. Pour être tout à fait exact, celui-ci se trouvait loin des beaux quartiers de la ville, des magasins très chics, des belles lumières de la ville. Je m'étais intégrée assez rapidement, j'avais imposé mon caractère à tous que ce soit aux élèves mais aussi aux professeurs. Je faisais parti de ces leaders, ceux qui s'assuraient que le bateau avançait toujours aussi bien, toujours plus vite en évitant les icebergs qui pourraient éventuellement perturber le voyage. J'étais une élève brillante. Je parlais couramment trois autres langues: l'italien, le français ainsi que le mandarin. J'avais de grand projet pour mon avenir. Je comptai intégrer la faculté de Yale afin d'y prendre Science Politique. Le fait de parler plusieurs langues me donnait un plus, j'avais de grande ambition. Peut-être devenir une femme de pouvoir comme être Sénatrice. J'étais assez perfectionniste et très déterminée. Lorsque j'avais une idée en tête, il était très difficile de me faire changer de cap. J'avais tout organisé, tout planifié pour mon avenir et mon père en était très fier...

Au milieu de ma deuxième année de lycée, un chose inattendu m'arriva. Alors que je me trouvais dans les rangs de classe, sortant tout droit d'une pièce de théâtre, une des plus remarquables auquel j'ai pu assister, un homme me fixait quelques pas plus loin. Je ne l'avais point remarqué, une des élèves dû me le faire remarquer. Etant une fille n'ayant peur de rien ni personne, de plus très bien entourée d'un tas de personne, je le fixais à mon tour le détaillant de haut en bas et de bas en haut. Je remarquai son style assez particulier, bien trop impeccable pour un homme. Une coupe de cheveux assez moderne, une chemise rose pâle retroussée au manche, accompagnée d'un veston noir.. Je continuai de l'observer jusqu'à ce qu'il finit par s'avancer vers moi, je ne cessait de soutenir son regard. Il engagea la conversation en se présentant, me disant qu'il recherchait les futures mannequins de demain. Je fronçais les sourcils, l'écoutant intriguée et assez surprise à la fois. Cet homme me voyait bien embrasser cette voie. Je peu m'empêcher de rire. Il me tendit sa carte et s'en alla. Je secouai la tête, mes amies étaient toutes surexcitées, me demandant si j'allais oui ou non m'engager là dedans. Bien sûr que non! J'étais destinée à être une femme politique et non à défiler sur des podiums. Et puis que diraient mes parents? D'ôter cette idée stupide de mon esprit. Et pourtant, une semaine plus tard, je finis par céder à la tentation. J'avais séché un cours, qui plus est un cours très important qui risquait de me coûter un avertissement. J'avais donc passé un entretien. Mon père avait été informé de mon écart de conduite. Je fus sanctionnée, me levant à quatre heures du matin pour aider le personnelle d'entretien. Mais cela ne m'empêcha pas de recevoir un coup de fil quelques jours plus tard. Voilà comment après une simple sortie scolaire au théâtre, en uniforme, je devins mannequin grâce à un homme louche et bien habillé me repéra sur un trottoir regroupé avec d'autres élèves. Bien entendu, mon père ne fut pas du tout au ange de me voir ainsi renoncer à la politique. Pourtant, je continuai à prendre des cours par correspondance afin de ne rien perdre. J'eus mon bac, l'année qui suivit.

A seulement seize ans, j'avais parcouru le monde de la mode. Paris, Berlin, Milan, Amsterdam... Je voyageai tout le temps, me retrouvant avec des femmes et des hommes que je n'aurais jamais pu croire rencontrer un jour. J'étais heureuse, comblée. Après trois magnifiques années dans ce milieu, je découvrais peu à peu que ce monde là avait malgré tout quelques inconvénients. Je me trouvais toujours grosse malgré mes quarante-cinq kilos. Je ne mangeai plus, me laissant mourir de fan, défilant sans avoir même pris un petit déjeuner au moins un verre de jus d'orange. Rien.. Seulement mes jambes sur les podiums. Je perdis trois kilos, j'étais contente mais ce n'était jamais assez si bien que lors d'une répétition, je me sentis très faible, mes pas étaient moins assurés, plus lents, mes jambes avaient du mal à supporter le poids de mon corps si bien que je m'écroulai perdant connaissance. J'avais passé quelques jours à l'hôpital de Milan. J'avais manqué le défilé, j'étais anéantie et très en colère contre moi-même. Après ce fâcheux épisode, je repris du poil de a bête. J'avais changé, j'étais encore plus délurée que jamais, bien trop joyeuse, je respirais la joie de vivre, ma carrière décollée en flèche, j'étais très demandée par les plus grands. Mais très vite, du jours au lendemain, sans comprendre pourquoi tout devenait sombre, extrêmement sombre et froid. Je ne n'apercevais plus la lumière. Je me renfermai sur moi-même, j'étais devenue agressive, sauvage et avais une grande addiction pour le sexe. Que ce soit avec une femme ou un homme ou même les deux en même temps, j'avais besoin de ma dose de sexe, c'était devenu comme une drogue, un besoin pressant. J'étais parfois blessante, sans pitié. J'avais même tendance à entendre des voix dans ma tête lorsque je n'aimais pas quelqu'un, ou qu'une personne tentait de me voler quelque chose qui me tenait à coeur. Une voix me dictait comment lui nuire et l'ôter de mon chemin. J'étais également dangereuse pour moi-même, je pleurais dans ma chambre, me persuadant de mettre fin à mes jours...

Ma boite me conseilla de prendre du repos, histoire de décompresser un peu, de retrouver ma famille. Ce que je fis. J'étais donc de retour à Londres, une semaine avant de fêter mes vingt-et-un ans. Mes proches ne savaient plus sur quel pied danser avec moi. Il se demandait à chaque instant s'il allait voir la jeune femme hystérique et joyeuse en face d'eux ou la dépressive, irritante et en colère à chaque seconde qui passait. Jusqu'au jour où mon père fit quelques recherches et trouva ce qui n'allait pas chez moi. Je fus emmenée à l'hôpital Saint James la veille de mon anniversaire alors que je pensais que nous allions au restaurant. Des infirmiers me conduirent à l'intérieur alors que j'hurlais ''Père, ne m'abandonnez pas, je vous en prie! Père''. Je sus que je souffrais de bipolarité phase deux. J'étais en psychiatrie. Cela faisait maintenant un mois que j'y étais et i n'y avait pas vraiment de changement apparent. J'étais encore plus dépressive qu'avant du fait de penser que mon père m'avait lâchement abandonnait au main d'inconnu. Ma carrière dans le mannequinat était en chute libre. J'étais seule, incroyable seule dans ce établissement et je n'avais qu'une envie, disparaître...

Kosma-Morgana P. Dalton a écrit:

Merci les garçons

Travis > Je suis sûre qu'on va y arriver, y a intérêt sinon je t'étrangle x)

Avant de pouvoir te valider, il faudrait modifier deux-trois petites choses^^

La date de naissance dans le premier message (février 1991) ne coïncide pas avec celle dans l'histoire (avril 1991^^)

Après, il me semble qu'il y a des incohérences au niveau des âges (sauf erreur de ma part ^^).
A à un moment tu dis qu'à 15 ans elle est envoyée à NY, puis le paragraphe d'après tu parles de sa troisième année de lycée donc (17-18 ans logiquement ?!) où le mec cherche des mannequin.. et après ça repart quand elle avait 16 ans .


Mais sinon, ça me semble c'est impec . Dés que tu as changé cela on pourra te valider .

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