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 Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp]

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MessageSujet: Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp]   Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp] Icon_minitimeMar 11 Sep - 0:08

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C’était toujours la même chose. L’histoire semblait se répéter inlassablement, comme si rien ne pouvait jamais changer. Affalée dans un siège, une jeune femme a les yeux dans le vague alors qu’une larme roule sur sa joue. Encore un cuisant échec amoureux. Pas un amant d’une nuit, pour se sentir aimé quelques heures, non. Un compagnon. Qui n’était pas resté plus d’une semaine, en fin de compte. Enfin, c’est elle, qui n’était pas resté. Delilah était ainsi, fuyant la moindre petite contrariété, le plus petit soupçon d’ombre au tableau. Que faisait-elle donc, pour mériter d’être toujours déçut de la sorte ? Pourquoi courait elle ainsi après l’amour, alors même qu’elle le fuyait tout aussi souvent ?

Pourtant, sa tristesse disparait aussi vite qu’elle est apparut. Soit très rapidement. Elle n’a pas le temps pour songer à cela. Ou plutôt, elle n’a pas envie de le faire. Alors à nouveau, la souffrance de la neurochirurgienne se terre, laissant la place à son obsession du paraître et des réussites. Ouvrant un dossier, l’Hongroise écrit des notes, corrige des informations. Avide de reconnaissance, de respect, d’amour, la jeune femme espère bien recevoir un Grand Prix de Médecine grâce à l’essai clinique qu’on vient tout juste de la laisser entamer. A trente ans c’est ambitieux. Mais Delilah l’est depuis longtemps maintenant. Du reste, elle n’est pas tout à fait une chirurgienne comme les autres. Elle était déjà titulaire à vingt-sept ans. Autant dire quand la grande majorité des résidents de son âge sont encore loin de présenter l’examen.

Le perfectionnisme de la demoiselle est à l’affut. Encore une fois, elle relit ses notes, se repasse l’essai dans sa tête. Le téléphone sonne et la belle aux boucles brunes le laisse vibrer. Elle n’a pas le temps de répondre. De toute façon, la personne n’a qu’à lui laisser un message et le tour est joué. On toque à la porte. Un de ses résidents. La jeune femme aboie un peu. Du temps, elle a besoin de temps. D’en gagner, pas d’en perdre. D’ordinaire, la belle fait exception sur les autres Clochette en respectant les personnes qui l’entourent. Mais aujourd’hui… L’essai est bien trop important pour qu’on vienne la déranger à tout bout de champ alors qu’elle a un creux dans l’emploie du temps. S’il y a une urgence, son biper est opérationnel. Point.

Le téléphone sonne encore. Pestant, la jeune femme décroche, interroge, acquiesce et ne tarde pas à raccrocher, ses yeux lançant des éclairs. Tout ça pour pour l’inviter à une joyeuse petite sauterie… Quoique cette soirée lui donnera l’occasion, d’être vue, admirée, désirée et adulée. Tout ce dont elle a besoin dans son inconsciente volonté de réparer l’enfant brisée par son enfance. Soupirant, la jeune femme referme ses dossiers et quitte la salle qu’elle occupait, afin d’aller visiter un patient à opérer le lendemain. La neurochirurgienne doit lui expliquer les risques, le protocole qu’elle va employer… la hongroise le rassurera certainement. Car il n’est pas rare que les patients ou leurs familles aient quelques inquiétudes justifiés. Delilah est passé maître dans l’art de l’assurance et du réconfort.

[…] Quittant son patient, la demoiselle déambule dans les couloirs dans le but d’aller se chercher un café. Lorsque sa route croise celle d’un verre de cette même boisson, brûlant. En un instant, la titulaire et son « agresseur » se retrouvent couvert de café, ce qui n’amuse pas du tout la grande brune. Celle-ci regarde sa tenue puis celle de la personne lui faisant face, lançant à nouveau des éclairs. Un beau gâchis ! La demoiselle était bonne pour se changer avant d’aller faire son ablation de la partie droite du cerveau, laquelle devait avoir lieux en début d’après-midi.

« Nom de dieu ! J’ose espérer qu’un empoté pareil n’est pas chirurgien ? »
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Dernière édition par Delilah G. M. Esterházy le Jeu 20 Sep - 11:30, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp]   Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp] Icon_minitimeJeu 20 Sep - 10:49

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Je ne savais pas ce que j'avais aujourd'hui mais je ne faisais conneries sur conneries. Quelque chose me tourmentait, mais quoi ? Je pensais que c'était ce qui m'était arrivée avec Thisbe. J'étais un peu perdu depuis ce baiser, je ne savais pas quel sentiment j'éprouvais. Il y a encore quelques semaines je la détestais et je ne faisais que la pourrir. Là on dirait qu'il y avait des sentiments amoureux entre nous. Je ne pouvais pas tomber amoureux de ma meilleure ennemie quand même. Mais comme on dit, les sentiments ne se contrôlent pas. Et puis si je voyais au dessus de ce qui me dérangeait chez elle, elle était merveilleuse. Mais bon, il fallait qu'on en parle tous les deux pour mettre les choses au clair. Je ne pouvais pas continuer comme ça. Cette histoire me travaillait et cela se répercutait sur mon travail et ce n'était absolument pas mon genre. D'habitude je suis le meilleur dans mon domaine c'est à dire en psychiatrie.

Aujourd'hui je m'occupais de madame Verlano, elle était atteinte d'une maladie très rare qu'aucun médecin n'arrivait à caractériser. D'ailleurs un médecin américain allait venir voir ce cas si rare pour pouvoir l'aider à guérir. Moi je ne m'occupais que de lui demander si tout allait bien, si elle avait besoin de quelque chose, si son cas ne s'aggravait pas. Apparemment, rien à signaler, pour l'instant tout allait bien. Je sortis de la chambre et prévins mon titulaire qu'il n'y avait rien de grave pour le moment. Il me répondit qu'il fallait tout de même que je la surveille de près. A n'importe quelle heure du jour ou de la nuit elle pouvait avoir une crise. Et ces temps ci, j'étais beaucoup de permanence la nuit justement pour rester près d'elle. Mais là, j'avais quelques minutes de pause, j'en profitais pour aller me chercher un café au distributeur. Je pensais encore à Thisbe. C'est fou ce qu'elle m'obsédait. Je me retournais et je renversais tout mon café sur une titulaire que je ne connaissais pas. Et voilà ce que c'est que d'être dans mes pensées. Nos blouses étaient toutes tâchées. Mais bon, je n'étais pas le seul fautif, elle n'avait qu'à pas être si près de moi lorsque je me retournais. Elle m'engueula comme si j'étais un gamin et ça je ne pouvais pas le supporter. Je n'étais pas du genre à me laisser marcher sur les pieds, surtout si on me dit que je ne suis pas un vrai chirurgien. Enfin là ce n'était pas ce qu'elle avait dit mais ça y ressemblait. Je commençais à m'emporter.

L'empoté comme vous dites est interne en psychiatrie. Il n'y a pas que moi dans l'histoire à avoir tâché l'autre. Certes j'étais ailleurs et je m'en excuse mais vous aussi vous pouviez faire attention.
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MessageSujet: Re: Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp]   Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp] Icon_minitimeLun 24 Sep - 2:20

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La jeune femme regardait sa blouse tâchée avec un petit air mécontent et ce que la chirurgienne ignorait, c’est qu’elle n’était pas au bout de ses peines car le garçon n’avait pas l’intention de se laisser accuser seul et encore moins de se faire souffler dans les bronches par la titulaire, comme cette dernière venait de le faire. Mais après tout, s’il ne s’était pas tourné comme ça, sans faire attention, rien de tout cela ne se serait produit. Après tout, ils se trouvaient dans les couloirs d’un hôpital, ce qui impliquait la présence de patients. Et par extension, une vigilance constante. Là encore, ce n’était qu’un peu de café sur deux blouses, mais admettons qu’il bouscule un patient avec un chariot ou toute autre chose. Ils devaient tous faire constamment attention à ceux qui les entouraient pour éviter les accidents et le jeune homme devait bien comprendre ça. Les soucis personnels devaient rester au vestiaire, tout simplement.

Des murmures s’élevaient alors que des regards se tournaient vers eux mais personne n’osait rire de la situation. Quelques internes les observaient simplement en chuchotant et la jeune femme entendait quelques brides de conversation par-ci par-là. Bien sûr, ces lèvres qui s’agitaient, c’était pour elle, pour eux. La jeune femme le savait pertinemment, à cause des «jeunes titulaire», «Docteur Esterhazy» et autre surnoms qui se glissaient dans ses oreilles.

Toisant quelque peu le jeune homme, la demoiselle l’observait en détails, soit de haut en bas. Elle, si perfectionniste, si obsédée par le paraître, par la réussite… Et lui si… maladroit, pataud, débutant… Cela l’agaçait quelque peu. La chirurgienne avait-elle été comme ça, quand elle était encore interne ? Malgré le jeune âge qu’elle avait à l’époque, il lui semblait bien que non. Se rendait il seulement compte des conséquences que pouvaient avoir un faux mouvement, une maladresse dans un endroit comme l’hôpital Saint-James ?

Il l’a accusé et cela l’agace. Parce que la belle, aveuglée par son syndrome, cherche à tout contrôler autour de sa personne, à commencer par elle-même. Et là, les choses lui ont échappés, parce que dans son contrôle de tout, la belle n’avait pas inclut cet interne, qui vient de contrecarrer tout ce qu’elle se donne tant de mal à ériger. Et la brunette pourrait s’énerver, vraiment, parce qu’elle n’aime pas du tout que les choses lui échappent. Pourtant, au contraire, la jeune femme se radoucit. En gardant néanmoins son petit air supérieur.

«- Fait plus attention la prochaine fois. C’est toi qui a tourné comme un sauvage. Il faut plus de prudence dans un hôpital. Imagine-toi au bloc, en pleine opération sur le cerveau… Tu sais que le plus petit faux-mouvement peut couter la vie ou la motricité du patient ? Nous devons faire attention ici, toujours ! Quelque soit la tâche que l’on exécute. Quelque soit notre spécialité. Toujours.» annonce t elle avec grand calme. Ce n’est pas un vrai reproche. Ces mots relèvent plus du conseil avisé que peu donner un titulaire à un interne.

Le regard de la jeune femme glisse sur le corps de l’étudiant et son côté séductrice revient au grand galop. Et alors ? Cela a toujours été ainsi. Draguer, coucher, fuir à la moindre contrariété. Voici la triste chanson monotone d’une vie. Fichue maladie, oui ! Qui donnait une illusion de bonheur alors qu’au font, tout ce que cela faisait, c’était de masquer le mal par un loup.

La brunette avance d’un pas et se met à rire. C’est un joli rire, très joyeux et qui semble pétillant. Dommage qu’il soit juste de la comédie. Delilah est une bonne actrice. Souriant comme s’il ne s’était rien passé en tirant discrètement sur sa blouse pour dévoiler un peu plus qu’elle ne devrait, la demoiselle propose à son « agresseur » d’aller changer de tenue avant de s’accorder un verre, l’invitant sous le prétexte de se faire pardonner une réaction si vive, si brusque. Delilah & Philipp, qu’elle histoire cela peut il donner ? La belle l’ignore encore mais ne demande qu’à voir et les cartes sont entre les mains du jeune homme. Une « nuit » ensemble, ou pas ? Car la jeune femme sait d’ores et déjà qu’avec ce garçon, elle ne peut espérer plus. Mais, se sentir aimé, désirée, une petite heure, cela ne peux pas faire de mal, après tout. Et Delilah a tellement besoin d’amour.


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MessageSujet: Re: Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp]   Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp] Icon_minitimeMar 25 Sep - 20:12

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La titulaire commença à s'exciter. Je ne comprenais pas pourquoi elle me parlait de chirurgie alors qu'on venait de se rentrer dedans et qu'on s'était mis du café partout. Elle était un peu spéciale et complètement fêlée. Elle n'avait que le travail dans sa vie ou quoi ? Je venais juste de prendre mon café et elle, elle était trop collée à moi. C'était tout de ma faute ? Non je ne crois pas. Elle aussi était en tord. Elle devait avoir une fierté hors norme. Et je ne supportais pas que toute la faute soit remise sur moi. Elle ne devait pas supporter de faire la moindre erreur et là elle en avait fait une, bien sur moi aussi, je l'avouais totalement contrairement à elle. Mais alors là, je ne voyais pas en quoi la chirurgie venait à faire là. On était pas dans un bloc. Quand j'étais dans un bloc j'étais une toute autre personne, on ne me reconnaissait pas tellement j'étais plongé dans mon travail. Comme elle disait, le moindre faux pas pouvait coûter la vie à un patient. Je laissais mes problèmes à la porte du bloc et en sortant je les reprenais malheureusement. Pendant toute une journée je ne pouvais pas oublier ce qui obnubilé mes pensées surtout que celle qui était toujours dans mes pensées, elle travaillait avec moi donc ça serait très dur. Et puis elle était qui pour me donner des ordres, j'organisais mon travail comme je l'entendais. Je ne pouvais que répliquer à sa remarque.

Je sais très bien tout ce que vous me dites, je suis ici depuis plusieurs années et si j'étais incompétent ça ferait longtemps qu'on m'aurait viré. Je vous ai seulement renversé un café sur votre blouse, on va pas en faire tout un drame non plus. Vous aussi vous pourriez faire attention à trop me coller.

Ca c'était fait, je ne supportais pas qu'on m'accuse de choses où je n'étais pas le seul responsable. Et d'un coup la jeune femme s'assagit, se rendit plus séductrice. Je ne compris pas ce qu'il se passait mais bon, je la laissais faire. Elle proposa d'aller se changer puis ensuite d'aller boire un coup. J'acceptais avec grand plaisir, j'étais toujours d'accord pour faire de nouvelles connaissances après tout. On se rendit aux vestiaires et je me mis en tenue de civile pour aller boire un coup pas très loin de l'hôpital. Je lui dis tout de même :

J'accepte avec grand plaisir par contre, il faut que je sois revenu à l'hôpital dans moins de trois quart d'heures.

Je ne savais pas ce qu'elle avait en tête mais en tout cas je n'étais pas aussi séducteur qu'elle. J'étais plus renfermé et froid, surtout quand je ne connaissais pas. On se rendit donc au plus proche café du coin. Je demandais au serveur un autre café du coup et j'attendis que Delilah prenne commande à son tour.
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MessageSujet: Re: Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp]   Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp] Icon_minitimeJeu 27 Sep - 1:16

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«- Ce que je veux vous faire comprendre, c’est que même hors du bloc, il faut faire attention. Vous vous servez un café, cous retournez brusquement, ok. Vous n’avez tâché que des blouses. Mais imaginez une seconde que vous aillez bousculé le patient, là-bas, et que le liquide se soit renversé sur son appareil. Ou encore… la petite fille là, avec sa maman. Imaginez une seconde que ce soit une tasse en verre et que vous bousculiez cette enfant. A votre avis… que se passerait il, sur sa charmante tête blonde, si la tasse venait à tomber dessus ? Je ne dis pas cela pour vous embêter. Mais simplement pour vous faire comprendre que dans un hôpital, il faut toujours rester sur ses gardes, quoi que l’on fasse.»

L’accuser d’être en partie responsable, c’était un peu fort, d’autant plus que la titulaire avait fait attention. Si lui n’avait pas quitté la machine si brusquement, tout cela ne se serait peut-être pas produit. Le seul tord de la titulaire était peut être le fait de s’être emportée pour une tâche sur sa blouse et d’avoir traité l’interne d’empoté. Bon ok, ce n’avait pas été la chose la plus intelligente qu’elle avait fait dans sa journée, c’était certain. Mais était-ce une raison pour chercher à lui en mettre davantage sur le dos ? Bref. Peu importe. L’invitation à prendre un verre semblait être, elle, une bonne idée. Peut-être en oublieraient ils ce fâcheux incident ?

Même pas trois quarts d’heures, voilà le temps dont ils disposaient. Mouai. Delilah se demanda un instant si on pouvait réellement séduire en si peu de temps. Mais soit, s’il était ouvert, elle pourrait toujours capter son attention et puis il adviendrait ensuite ce qui devrait advenir, voilà tout. … Mais quand la jeune femme arrêterait elle ses conneries, ses envies de drague, de sensation d’amour, pour se rendre compte que tout ce qu’elle attendait était juste sous son nez, caché sous les traits d’un séduisant psychologue que sa chère enfant adorait ?

Rapidement, les deux médecins arrivèrent à un café tout proche de l’hôpital, où le jeune homme commanda un café tout comme la demoiselle qui réalisa, alors que le serveur apportait déjà leurs boissons, qu’elle ne connaissait toujours pas l’identité du jeune homme installé juste en face d’elle. Il ne lui semblait pas avoir déjà travaillé sur un cas avec lui, mais peut-être ne s’en souvenait elle pas.

«- Nous ne nous sommes toujours pas présenté…» sourit elle en soufflant sur le liquide amer pour le refroidir. «Alors, comment t’appelle-tu ?» demanda t elle en continuant de sourire avant de se présenter elle-même, se contentant d’énoncer son nom et de son métier. « Je suis le docteur Esterházy. Delilah Esterházy. Je suis titulaire en Neurochirurgie»

La brunette ne dit rien de plus. Pourtant, il y avait un tas de choses à dire sur elle. Bon, évidemment, elle ne pouvait pas parler de son syndrome, étant persuadée d’être totalement saine. Alors que pour un interne en psychiatrie, ce serait sûrement l’information la plus intéressante qui soit. Passons. La jeune femme aurait put mentionner le fait qu’elle était aussi princesse hongroise, qu’elle avait été titularisé à l’âge de vingt-sept ans, que son QI était de 160, qu’elle avait une fille… Mais non, Delilah choisit de taire tout cela. La hongroise ne parla pas non plus de son enfance difficile. Ni du fait qu’elle avait descendu son père. Parce qu’avouons-le, ce n’était pas le genre d’informations qui forçaient l’admiration hein. Au lieu de cela, la brunette attendait que l’étudiant lui donne son nom et prénom, tout en buvant une gorgée du liquide qu’elle avait prit soin de refroidir.

«- Puis-je vous demander… ce qui vous attire, dans la psychiatrie ? Tous ces problèmes auxquels vous devez faire face ne sont ils pas trop… lourds ?»

Posant sa question, la jeune femme adoptait un petit regard ainsi qu’un sourire qui auraient presque fait fondre l’homme le plus saint.


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Désolé pour la qualité de ce post. Je ne suis pas super satisfaite j'dois dire X_x


Dernière édition par Delilah G. M. Esterházy le Mer 3 Oct - 13:27, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp]   Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp] Icon_minitimeLun 1 Oct - 17:06

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Cette femme me saoulait à me faire la morale, c'était qu'un café renversé. On dirait que limite on risque sa vie si on fait renverser du café, non mais n'importe quoi. Les patients ne vont jamais par là et puis je savais qu'il n'y avait rien de grave autour de moi, que je n'allais pas risquer des vies. Je n'aimais pas les ordres et encore moins des ordres pour n'importe quoi. Il fallait qu'elle se calme. Heureusement que c'était une titulaire sinon je lui aurais tout de suite rentré dedans. Mais bon fallait que je me méfie, vu son caractère elle pourrait me faire virer en moins de deux. Je ne répliquais rien parce que de toute façon elle allait toujours répondre jusqu'à me prouver que j'ai tord et je ne voulais pas avoir une conversation sur ça pendant deux mille ans. Je me calmai, je pris sur moi et j'acceptai même de prendre un verre avec elle. Je ne sais pas ce que ça allait donner mais j'espère qu'on passera un bon moment. Bon pour l'instant c'était mal parti...

Nous étions au café juste à côté de l'hôpital et je venais de commander un café, tout comme elle d'ailleurs. Le serveur les apporta immédiatement. Je soufflais pour le refroidir légèrement. Puis la jeune femme proposa de se connaitre davantage. Elle était titulaire en neurochirurgie. Bizare qu'on ne se soit pas vus avant vu qu'on travaille au même étage. En entendant son nom, je la connais déjà. On parle beaucoup d'elle. Apparemment elle aime bien donner des ordres et elle a du mal à trouver un mec. Oui, ça parle beaucoup à l'hôpital et on s'est très vite tous les potins. Je lui répondis :

Moi c'est Philipp Collins, interne en psychiatrie.

Je bus une gorgée de mon café mais me brûlai la langue avec. Décidément je n'avais pas assez soufflé dessus. Cette fille était plutôt mystérieuse. Mais elle me posa une autre question, portant plus sur mon métier. C'est vrai qu'entre médecin, on parlait de médecine. Après tout on ne se connaissait ni d'Adam ni d'Eve alors autant parler de quelque chose en commun. Je lui répondis donc à sa question :

A vrai dire, tous ses problèmes me passionnent, j'ai tellement envie d'y trouver une solution, d'aider les patients que je m'y donne à fond. J'adore mon métier et je ferais tout pour mes patients.

Je bus une autre gorgée de ma boisson et lui demandai :

Et vous, c'est quoi qui vous a attiré dans la neurochirurgie ?
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MessageSujet: Re: Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp]   Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp] Icon_minitimeMer 3 Oct - 14:57

Couleur... café... Que j'aime ta couleur café !
«- Et bien en réalité, cela peu paraître curieux, mais je ne sais pas ce qui m’a attiré dans la neurochirurgie. Le cerveau me passionne depuis que j’ai douze ans, à vrai dire. C’est peut-être plus une véritable vocation qu’un réel choix de ma part, ou celui-ci était inconscient. J’ai toujours voulu faire ce métier. Je ne me souviens pas avoir un jour souhaité être autre chose. Si, enfant, je disais que plus tard je ferai princesse. Mais ce n’est pas un métier et j’en étais déjà une, alors ça ne compte pas.» répond t elle en riant. «Disons que j’étais destinée à faire ce métier, à sauver des vies. C’est l’aspect de mon métier qui me plaît le plus. Voir qu’un patient s’en est tiré c’est… Je ne sais pas s’il existe un moment plus merveilleux que celui où l’on déclare «Votre maman est tirée d’affaire et se réveillera bientôt.» C’est tellement… J’aime sauver des vies.»

Un petit mensonge. Car malgré ses dires, la jeune femme savait pertinemment ce qui l’avait attiré vers la neurochirurgie : le prestige, l’ambition, l’envie de montrer aux siens, à ses bourreaux, qu’elle pouvait être quelqu’un. Et quelqu’un de bien plus grand qu’eux, capable de faire grandir le prestige du nom familial. Pauvre petite Clochette… ceci étant dit, malgré ses motivations peu flatteuses pour exercer ce métier, la brunette était réellement heureuse de sauver des vies. N’allez pas croire qu’elle n’avait aucun cœur et ne voyait que l’aspect glorifiant de son métier, elle voyait aussi le côté humain… Même si inconsciemment, la chirurgienne aimait sauver une vie pour se sentir aimé ensuite.

Est-il possible de connaître pareil besoin d’amour ? Toute la vie de la brunette était vécut en fonction de son fichu syndrome. Les gens pouvaient dire bien des choses sur la pauvre Hongroise mais, au fond, elle n’était que la pauvre victime de deux monstres qui avaient réussit à al changer à son tour en une chose immonde. Après tout, les Clochettes ont très bien copiés leurs bourreaux, comme dit une psychologue américaine. Même si selon les cas et les filles, le phénomène était plus ou moins important…

«- Mais j’imagine que vous comprenez parfaitement ce que je veux dire, quand je juge que le cerveau est passionnant. Après tout, la psychologie est liée à lui elle aussi. On ne peut pas dire que nous exerçons des métiers liés ou complémentaires, c’est certain, mais tout deux ont rapport au cerveau en tout cas, donc j’imagine que vous aussi trouvez qu’il est… étonnant, passionnant, particulièrement complexe et au combien merveilleux…»

La demoiselle but une gorgée de son café, qui lui brûla un peu la langue. Deux hommes discutaient à une table voisine, assez bruyamment il faut le dire, de sorte que les deux médecins ne perdaient pas une miette de l’échange. Ce qui ne manqua pas d’exciter la jeune femme lorsque l’un d’eux, un peu trapu, posa une devinette particulièrement difficile à son comparse :

«- Je l’ai trouvée hier soir sur internet, après 45 minutes à chercher j’ai abandonné. Tu pense faire mieux ? Ok… 99 1 = 2. Ajoute un signe et un chiffre pour que l’équation soit juste!

Un fin sourire se dessina sur le visage de la brunette qui activa ses neurones, réfléchissant quelques secondes à l’énoncé donné par l’homme. Un sourire se dessina sur son visage en quelques instants seulement. C’était d’une facilité enfantine. Aussi s’adressa t elle à celui qui avait posé l’énigme, avant de lever de nouveau sa tasse pour en boire une nouvelle gorgée.

«- La réponse est 99 puissance 0 + 1 = 2.»


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MessageSujet: Re: Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp]   Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp] Icon_minitimeSam 20 Oct - 22:40

Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp] Tumblr_loprip0BfC1ql1vvv

Je trouvais que Delilah ne se prenait pas pour n'importe qui et elle se la racontait un peu. Je ne savais pas si elle était douée dans son domaine ou quoi mais elle avait un sacré melon. Après je ne la connaissais pas personnellement, je ne la connais que depuis une demie heure, je ne peux pas tellement juger. En tout cas je voyais qu'elle aimait son métier plus que tout. Peut être qu'elle n'avait que ça dans sa vie. Tellement de questions sans réponses. Au moins elle devait vraiment être douée dans la neurochirurgie étant donné qu'elle s'y donnait à fond. Au moins Saint James pouvait dire qu'ils avaient un super neurochirurgien qui donnait corps et âme à son travail.

Franchement je suis épaté face à vous. Vous avez votre travail dans la peau. Vous ne vous arrêtez jamais ou quoi ? Personnellement quand j'étais petit je voulais être un super héro.

Je me mis à rire. Après tout elle avait dit qu'elle voulait être une princesse, beih à mon tour je lui avouais ce que je voulais être quand j'étais petit. Bref en reprenant ce qu'elle parlait, je n'avais pas spécialement réfléchi à tout ça. Elle partait plutôt loin, commençant à parler du cerveau. C'est vrai que nos spécialités étaient plutôt très étroites. D'ailleurs cela m'étonnait qu'on n'avait jamais eu à faire à l'un ou à l'autre. En tout cas, elle avait totalement raison sur tout ce qu'elle disait et j'étais admiratif devant les propos qu'elle tenait.

Oui c'est tout à fait ça. N'empêche, je n'avais jamais parlé avec quelqu'un comme ça de ma spécialité mais c'est exactement ce que je ressens, même si je n'avais pas autant réfléchi.

Puis alors que je sirotais mon café, je commençais à regarder ma montre discrètement. Je ne voulais pas être en retard pour mon prochain patient. Et si mon résident de permanence avait vu que j'avais déserté, il me disputerait et me ferait la grosse leçon de morale. Bref, ça va, il me restait encore quinze bonnes minutes. Et là d'un coup, Delilah murmura une réponse incompréhensive. Je ne compris pas pourquoi elle disait cela. Je lui demandais alors :

Qu'est ce que vous avez dit ?
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MessageSujet: Re: Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp]   Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp] Icon_minitimeMar 23 Oct - 18:05

Couleur... café... Que j'aime ta couleur café !
Si Delilah ne se prenait pas pour n’importe qui, c’est qu’elle avait été n’importe qui aux yeux de ses parents et ce tout au long de son enfance, quand elle devait tout apprendre seule, jusqu’à la propreté parce que ces deux là n’étaient pas disposés à s’occuper d’elle. Autrefois, Delilah n’était personne. Autrefois, Delilah en avait bavé. Et désormais, les choses avaient changées, depuis qu’elle avait mit un terme aux jours de son diable de père et même avant, quand elle était première de sa classe et sautait ces dernières. Trois, en tout. Décidée à devenir quelqu’un, ambitieuse au possible et malade, profondément malade psychologiquement et mentalement, la demoiselle avait décidé que plus jamais on ne la déprécierait, que plus jamais elle ne serait rien. Au contraire, la jeune femme avait décidé d’être au sommet. Parce que si elle y était, comme l’étoile sur le sapin de noël, alors tout le monde l’aimerait. Et de l’amour, elle en avait besoin. Besoin d’être aimé, mais pas besoin d’être amoureuse. C’était une chose qui lui faisait peur. Les clochettes ont beaucoup de force à revendre, mais craignent toujours que leurs sentiments ne fassent mourir cette force qu’elles ont. Et Delilah ne faisait pas exception à cette règle. Etre une Clochette, pas facile tout les jours.

Si Delilah aimait son métier, c’était, au départ, par simple amour du prestige qu’il apportait. Les choses avaient changés dans son cœur depuis et elle aimait réellement sauver les gens pour le simple fait de les voir sourire ensuite, de voir le bonheur sur le visage et sur ceux de leurs proches. Mais quelque part, son syndrome n’était encore pas innocent là dedans. En sauvant des vies, elle obtenait la reconnaissance de ses patients et de leur famille. Une reconnaissance qui, dans son esprit, s’apparentait à de l’amour. Pour un psychologue, Delilah était sûrement un très bon cas. Encore fallait il prendre conscience de ce qui se tramait sous sa chevelure brune et ceci n’était pas gagné. Il était difficile de diagnostiquer une femme atteinte d’un tel syndrome. Peut-être parce que sa découverte était encore assez récente ? Probablement. Et parce que les victimes de ce problème psychologique et mental ne se considéraient absolument pas malade.

Franchement je suis épaté face à vous. Vous avez votre travail dans la peau. Vous ne vous arrêtez jamais ou quoi ? Personnellement quand j'étais petit je voulais être un super héro. Qu’est ce que vous avez dit ?

«- Et bien cet homme à côté de nous posais une devinette et j’y répondais. Il demandais «99 1 = 2. Ajoute un signe et un chiffre pour que l’équation soit juste! » et je répondais donc que la réponse est 99 puissance 0 + 1 = 2.» » répondit elle en songeant subitement qu’elle avait été trop rapide à répondre et que cela pouvait éveiller quelques soupçons.

Léger rire de la part de la neurochirurgienne qui s’apprête à répondre, lorsqu’une petite tête vient grimper sur ses jambes en braillant « mamounette ! ». Prenant sa fille contre elle, Delilah sourit en jetant un œil derrière elle, pour voir son amie, qui semble bien essoufflée et qui est censé garder l’enfant. Visiblement, garder Elisabeth n’est pas toujours de tout repos.

«- Et bien voyez, j’ai une petite fille alors… bien sûr que je m’arrête. Peut-être pas autant qu’Elisabeth ne le souhaiterait mais… j’aime être avec elle, m’occuper d’elle et prendre soin d’elle. A tel point que je la materne un peu trop… J’oublie parfois que c’est une petite fille, plus un bébé. Mais elle ne manque pas de me le rappeler. » déclare t’elle en riant, commandant un coca cola pour la fillette.

Quand elle parlait de s’occuper de sa fille, une ombre était passée dans le regard de Delilah. Sûrement était-ce dût au fait qu’elle s’était retenu de dire « ce que mes parents n‘ont pas fait pour moi, en sommes. » Parce que la princesse ne pouvait pas balancer un truc pareil à un étudiant qui lui était presque inconnu, c’était beaucoup trop personnel.

«- Ma maman elle me dit que je suis une princesse ! Et toi t’es quoi ? » s’informe la gamine alors qu’on apporte sa boisson.

«- Maman t’a aussi dit qu’une princesse parlait plus poliment, Lizbeth… » la reprend Delilah en souriant. «Alors on se présente pour commencer, d’accord ? »

«- Oui maman ! Je suis Elisabeth Este… Esterh… Mais c’est dur maman ! Et toi, tu t’appelle comment ? »

La mère regardait l’enfant en souriant, reprenant son café. Mais l’heure tournait et la demoiselle songeait que l’heure n’allait plus tarder où ils devraient se séparer, le jeune homme étant attendu à l’hôpital, de ce qu’il avait dit.


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MessageSujet: Re: Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp]   Couleur... café... que j'aime ta couleur café ! [Philipp] Icon_minitimeLun 29 Oct - 23:09

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Je restais bouche bée devant ce qu'elle me disait. Elle me parlait d'une énigme qu'elle avait entendu je ne sais où. En quelques secondes elle avait répondu, j'étais épaté mais en même temps vexé. En fait, elle ne m'écoutait pas et elle préférait écouter les tables voisines. Je ne savais pas vraiment ce qui se tramait dans sa tête. Mais bon, j'ouvris de grands yeux ronds lorsqu'elle me parlait de son énigme qu'elle avait résolu en quelques secondes. J'avoue qu'en dehors du boulot, je ne me prenais pas la tête avec des choses aussi compliquées, ça me suffisait les énigmes du boulot.

Je ne m'attendais pas à ça mais chapeau pour la devinette trouvée.

Ensuite une petite fille se mit à rire jusqu'à Delilah. Je ne m'attendais pas à ce que cette femme ait une petite fille à vrai dire puisque tout à l'heure, elle m'avait presque dragué près de la machine à café. Bon, maintenant j'en découvrais un peu plus sur elle. Elle m'expliquait donc sa relation avec sa fille et me la présentait même. Je la regardais tout en souriant. Les enfants ce n'était pas tellement mon truc à vrai dire. Mais bon, ce petit bout de chou avait l'air plutôt mignonne. Je la regardais donc et me mis à rire en voyant la nounou arrivait complètement essoufflée.

Et oui ça m'a l'air d'être une grande fille maintenant.

Alors que Delilah tenait sa fille sur ses genoux, elle commença à me parler et à se présenter. Elle me fit rire lorsqu'elle me dit qu'elle voulait être une princesse, comme sa mère d'ailleurs. Et oui, en quelques minutes j'avais appris beaucoup de choses sur cette jeune femme. Même si les enfants et moi ça fait trente six mille, je trouvais cette petite fille plutôt rigolote et gentille. Je me mis à lui répondre à sa question :

Moi c'est Philipp Collins, je travaille au même étage que ta maman. Et je ne doute pas que plus tard tu seras une princesse.

Je regardais ma montre, que le temps passait vite en aussi bonne compagnie. Et puis Delilah m'avait avoué qu'elle ne passait pas autant de temps que le voulait Elisabeth avec elle. Donc vaut mieux que je les laisse un peu toutes seules et que je reprenne le chemin du boulot. Je commençais donc à me lever et leur dis :

C'est pas que je m'ennuie mais je dois reprendre le boulot moi.

Je donnais un baiser au petit bout de chou et fis un signe de la main à Delilah. On allait sûrement se croiser dans les couloirs maintenant qu'on se connaissait.
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