Il y a des jours où l'on préférerait ne pas se lever et rester emmitouflé dans son lit bien au chaud, mais bon ne pouvant pas deviner ce que l'avenir nous réserve, on se lève, on se prépare à affronter à la journée et voilà que les mauvaises nouvelles commencent à arriver. Ou plutôt, dans ce cas précis la mauvaise nouvelle, mais retournons au début de la journée auparavant. Cela faisait à présent quelques jours que Devin avait commencé à travailler à la cafétéria de l'hôpital et même si c'était assez compliquée pour elle au final cela ne se passait pas si mal... Le matin, le couple était même arrivé à trouver une bonne "routine" de façon à se lever le plus tard possible tout en arrivant à l'heure ! Une fois sa femme déposée sur son lieu de travail, lui était parti directement dans son service, où il travailla sur deux-trois petites choses à arranger... jusque-là la journée semblait plutôt banale jusqu'à un coup de fil -maudit- en milieu d'après-midi qui lui demandait d'aller réparer le wifi qui déconnait vers la salle des infirmières... Cela aurait pu être assez plaisant si cette salle ce s'était trouvée pile à côté du bureau de son demi-frère. Sebastian n'avait aucune envie de croiser son aîné et encore moins de lui parler ou autre... Avec un peu de chance, ils pourraient donc ne pas se croiser. C'est plus ou moins à ce moment précis que la journée commença à déraper, en effet, lorsqu'il arriva dans la salle tout était prêt pour une sorte de buffet. Sérieusement ?! Comment est-ce qu'il allait pouvoir se concentrer si tout le monde piaillait non loin de lui "blablabla" par-ci, et "blablabla" par-là. Le pire dans tout cela c'est qu'il se doutait pour qui était cette réception ou peu importe le nom qu'on veut lui donner: certainement pour monsieur Anderson, et sa promotion géniale. Non seulement cela faisait plusieurs jours qu'il entendait parler de ça à l'hôpital, mais en plus il avait fallu que Dianna l'appelle pour lui annoncer alors que sa petite sœur savait très bien que moins il entendait parler de Rob mieux il se portait. Beaucoup de personnes qui connaissaient assez bien "leur" histoire le trouvait injuste d'ignorer son aîné la plupart du temps, personne n'avait réellement l'air de comprendre ses raisons mais au fond il s'en foutait. Il en avait, ce n'était pas juste pour faire chier le monde... La raison était au final simple, il venait de perdre sa mère, il aurait eu besoin d'un grand frère, pas juste une ombre qui paye ce dont il avait besoin. A l'époque, il n'allait pas forcément au mieux -pour ne pas dire mal- avec tout ce qui pouvait se dire à l'école, cela ajouté au fait qu'à treize ans c'est surtout lui qui prenait soin de sa petite sœur; ça faisait beaucoup pour lui. Il aurait voulu que Rob essaye de le connaître, de l'aider mais comme son aîné ne l'avait pas fait, il ne lui en avait pas parlé. Stupide certainement, mais c'était ainsi.
Enfin bref, retournons à nos moutons. Bientôt pleins de chefs de services arrivèrent discutèrent pendant une très longue heure de choses et d'autres -d'ailleurs pour la plupart inintéressantes, et qui auraient eu leur place dans un bar, ou dans une discussion lors du repas du midi-. Bien entendu son frère était un peu la vedette de cette heure, ce qui était assez pénible à vivre. Comme d'habitude, il attirait tous les regards, toutes les convoitises et quoiqu'il fasse il s'en tirait toujours à merveilles, autrement dit c'était blasant. Une fois la "réunion" finie et toutes les chefs de services partis, il ne resta qu'Anderson et lui, ce qui signifiait deux choses, soit l'autre traînait mais allait partir en lui foutant un vent ce qui serait une très bonne chose, soit Rob allait vouloir taper la discussion et ça c'était déjà beaucoup moins plaisant. Et malheureusement pour Odair, ce fut la deuxième solution qui fut réalité, l'autre s'approchant avec une coupe de champagne mais sans dire un mot. Genre, il croyait qu'il allait prendre la coupe et parler tranquillement comme si de rien n'était. S'il attendait des félicitations, pour l'instant il pouvait toujours courir. Contrairement à ce que l'on pouvait croire ce n'était pas vraiment de la haine que ressentait Seb pour le médecin, mais plutôt un très arrière goût d'amertume et de la rancune. Bien entendu que si son frère avait réellement besoin de lui il serait-là... mais sinon ne pas se voir, ne pas se parler était une chose qui lui convenait parfaitement ! Pensant que s'il ne réagissait pas cela le ferait partir, il avait adopté cette technique pour éviter de s'embrouiller et de s'engueuler avec son aîné en plein milieu de l'hôpital... malheureusement, encore une fois il avait tout faux et Rob ne tarda pas à prendre la parole... lorsqu'il maria de son mariage, Seb retroussa doucement le né. C'est vrai qu'il aurait dû l'inviter, il le savait mais ça avait été en quelques sortes plus fort que lui. Cette fois-ci il ne pouvait plus faire la sourde oreille, se retournant donc vers son frère, il le regarda dans les yeux avant de souffler doucement C'est le moment où je suis censé dire félicitations et tout le blabla là ?! Il se passa une main dans les cheveux essayant de se calmer, ce n'était pas en lui parlant mal ou autres que la situation s’apaiserait. Donne moi une seule bonne raison Rob, pour laquelle je t'aurais invité à mon mariage. T'en as jamais rien eu affaire de moi, ce n'était donc pas une nécessité? Si ça pouvait semblait injuste aux yeux de Rob, ce n'était pas de la mauvaise foie provenant de Sebastian, il l'avait réellement vécu comme ça; et au final c'était bien ça le problème, cette incompréhension et ce fossé qui les séparait tous les deux:Je t'épargne les fausses excuses, du "j'ai oublié je suis vraiment navré", ou "tu n'as pas reçu l'invitation, quel dommage". Il se tut quelques secondes avant de continuer C'est gentil pour le champagne, mais je préfère pas boire quand je travaille. Autant Seb pouvait être adorable, autant il pouvait être la pire tête de mule qu'il puisse exister notamment lorsqu'il s'agissait de son frangin.

Biensur Rob ne s'était pas attendu à des félicitations de la part de Sebastian. Tout ce qu'il espérait peut-être c'était qu'il lui parle. Le silence c'était pesant au bout de tant d'années et le médecin avait l'impression qu'en étant avec Travis il s'était assagit et qu'il accordait aux relations humaines bien plus d'interet qu'avant. Par exemple avec Dianna. Même si il ne comprenait absolument pas pourquoi sa jeune sœur avait changé de prénom pour Cassy, qui, pour lui, ressemblait plus à un surnom d'actrice X qu'autre chose – appreciait sa présence à la maison, plus qu'il ne le penserais jamais d'ailleurs. Il faut même avoué que l'autre jour alors qu'il crevait encore de douleur, il lui avait accordé un calin de réconfort. Il se demandait bien pour qui était le réconfort, lui ou elle mais le fait est que ça a été bien agréable. La rancoeur c'est désagréable et ça laisse un goût dégueulasse dans la bouche. Presque aussi dégueulasse que ce champagne. Rob fini par poser sa propre coupe pour s'en débarasser, et écouta ce que Sebastian avait à dire – pour une fois. Ne dis rien que tu ne le pense pas, mais sache juste que j'ai mon mot à dire sur les salaires du personnel maintenant C'était bas de presque menacer là dessus mais si on y réfléchit ce n'était pas vraiment une menace. Rob n'avait pas le pouvoir de baisser le salaire de quelqu'un. Par contre il pouvait l'augmenter si il estimait que cela entrait dans le budget de l'hopital et que la personne faisait du travail assez bon pour le mériter. Je peux t'en donner plusieurs des raisons. La première hm...laisse moi réfléchir... J'aurai pu t'offrir ton voyage de noces, déjà, et d'après ce que m'a dit Dianna le votre était pas folichon. Ensuite... Et là c'était la partie la plus compliquée. Parler du passé....Rob détestait quasiment tout ce qui faisait parti de son passé. Il détestait son père, Katie, toutes ses illusions de gosse et il avait toujours du mal avec le fait que personne ne l'avait aidé quand il s'est retrouvé avec la garde de son demi-frère et de sa demi-soeur alors qu'il avait à peine 21 ans. Ensuite ça t'aurai pas troué le cul d'inviter celui qui s'est occupé de toi pendant 5 ans Voilà, ça c'était dit. Même si il n'était pas parfait il aurait aimé un peu de reconnaissance, or, tout ce qu'il avait toujours eu avec Sebastian c'était un gosse fermé qui refusait de lui parler et qui avait l'air de se foutre complètement de son grand-frère. Le mépris dans les deux sens. Les frères Anderson/Odair ne se sont jamais compris et on dirait que cela ne va pas commencer aujourd'hui. Je vois que t'as absolument pas grandit hein Sebastian, j'ai l'impression de te voir ado là, à me défier continuelement, à te mettre entre TA sœur et moi, à être tellement borné que t'as jamais voulu voir la chance que t'avais d'être chez moi et pas dans un espèce de foyer sordide C'était inatendu comme conversation. Le professeur ne s'attendait pas à balancer de telles choses déjà mais comment dire...Il avait encore mal, et même si il appréciait l'augmentation de salaire, devenir sous-directeur allait changé sa vie : il aurait plus de travail, donc moins de temps avec Travis, plus de responsabilités et puis quand il y aurait un problème ça serait, bien sur, de sa faute. Il s'en serait passé, sans oublier que le procès n'était pas fini et qu'il fallait protéger Travis en attendant. Il se passa la main dans les cheveux pour se calmer parce qu'il sentait que ses nerfs allaient bientôt prendre le contrôle de lui et ça il fallait à tout prix l'éviter. T'es libre quand  dans la semaine ? T'es libre jeudi soir? Viens, avec ta charmante femme diner chez moi. Si tu sais pas où c'est, demande à ta sœur elle le sait très bien. Et dis à ta femme de t'habiller cette fois quand même. Ayant été le voison de Devin également pendant des années, il avait l'habitude de voir la gamine aller chercher le courier en ce qui devait être un pyjama, mais toujours très court, sans oublier les fois où il l'avait surprise chez lui en pleine nuit. Pourquoi Rob demandait cette invitation à manger hein ? Sebastian allait surement refuser, de suite même c'était inévitable. Pour couper court à la conversation, Rob quitta la salle avec une bouteille de champagne et une assiette de petit fours et alla dans son bureau qui était juste la porte à coté. Pour toutes les réclamations il faudrait s'adresser à sa secretaire...ou bien entrer directement parce qu'il était seul et qu'il n'avait pas fermé la porte à clé.

Si Rob s'était assagi avec le temps -et fort heureusement vu son âge et son grade actuel-, on ne pouvait pas forcément que c'était le cas de son petit frère; ou en tout cas pas lorsqu'il s'agissait d'Anderson. Il avait du mal à le supporter, il avait du mal à supporter, ce n'était pas de sa faute et sa rancœur envers son aîné était encore trop grande, et il ne comptait pas y aller à demis-mots pendant la conversation... Tout comme, il n'avait pas envie de le féliciter vu qu'il ne le pensait pas, il ne voulait pas faire parti de ses faux-culs. Écoutant son aîné, il haussa légèrement un sourcil en entendant Rob limite le menacer sur son salaire. En faisant un demi-sourire, l ne tarda pas à répondre Et bah vas-y, baisse-le moi... ou vire moi même si ça peut te faire plaisir... mais sache que ça ne changera rien à ce que je pourrais penser de toi. Et je ne compte pas m'amadouer et faire mon petit chien-chien qui suit son maitre et qui attend un sucre en récompense comme tous ces faux-culs. Il se tut quelques secondes avant de reprendre Alors si tu penses qu'il est bon de me virer, vas-y. Fais-le ! et il avait dit tout cela en le regardant dans les yeux. Sebastian était loin, très très loin même d'être rebelle ou quelque chose d'approximatif, mais maintenant il pouvait faire face à son aîné, il n'était plus l'ado introverti d'auparavant. Se raclant la gorge, le plus jeune continua dans sa lancée en lui disant pourquoi il ne l'avait pas invité à son mariage et visiblement cela ne plut pas à Rob qui répondit quelque chose de limite blessant, faisant même serrer le poing à Odair. Non il n'allait pas le frapper, ou autres, il se contenta de le foudroyer du regard avant de souffler Tu n'as pas l'air d'avoir compris que j'en ai rien à foutre de ton argent. C'est vrai, peut-être que l'on aurait pu avoir un meilleur voyage de noces, mais au final tu sais quoi je m'en fouts, parce que j'étais avec la personne que j'aimais par-dessus tout, j'ai épousé cette personne-là, alors qu'importe l'endroit où on allait ! Mais ça voulait peut-être dire que Devin avait que c'était pas folichon à Dianna.... et là c'était déjà plus grave; surtout pour lui. Il ne pouvait quand même pas avoir autant tord que ça. Il se tut quelques secondes avant de rajouter Occupé ?! Tu appelles ça occuper Rob ?! Je crois plutôt que c'est... comment dire... oui tu m'as logé, nourris et tout ce que tu veux. Oui, et merci pour ça, mais t'as pas l'impression que dans ce tableau il manque quelque chose ?! Oui, c'était une sorte de mépris, mais surtout de la rancœur, une énorme rancœur parce qu'au final pendant ces cinq années là il avait souffert, sans le dire certes, mais il était mal, et il aurait voulu que Rob essaye de le comprendre, mais il avait l'impression que son aîné le prenait plus pour un parasite qu'autre chose... et le ton continua de "monter" entre les deux frères, mais cette fois-ci, le plus jeune se renfrogna. Oui c'est vrai qu'il aurait pu finir dans un foyer.... mais tout ce qui lui aurait voulu c'était de l'attention de son ainé mais ça visiblement personne ne pouvait le comprendre. Il soupira doucement, et finalement détourna le regard Bien sûr Rob... Tu as été le grand frère le plus génial de la Terre.... et je suis qu'un petit merdeux. Je l'ai bien compris, et depuis longtemps... Tout le monde pense comme toi, alors je suis qu'un ingrat en plus. Au final le plus âgé l'avait blessé, et il préférait abandonner et lui donner raison, laisser tomber de toute façon ça serait toujours Rob le gagnant, quoiqu'il se passe... Il avait même réussi à conquérir Dianna pour qu'elle reste avec lui. Même là, sa propre sœur semblait donner raison à l'aîné de la famille... c'était dépitant. C'est plutôt d'une façon soudaine, que le sujet changea de direction... En effet Anderson venait de lui proposer de venir diner chez lui et Devin était également conviée. Le fixant de nouveau il ne savait pas pourquoi l'autre lui avait proposé cela; et avant même qu'Odair ait pu répondre l'autre s'était tiré dans son bureau. Une fois qu'il eut vérifié que la wifi marchait de nouveau, il alla dans le bureau de son aîné et entra après frappé deux coups. Pourquoi Rob ?! Pourquoi est-ce que tu m'invites comme ça ?! Il se tut quelques secondes, le temps de réfléchir et dire Jeudi soir ça risque d'être compliqué, mais mercredi soir pourquoi pas, si ça te convient, j'en parle à Devin ce soir. Oui jeudi soir ils avaient une soirée en ligne de prévue... Et elle sera habillée t'inquiètes pas... d'ailleurs pourquoi tu dis ça ? Elle est toujours habillée, sauf chez nous... Oups. Peut-être qu'il venait de gaffer là... tout comme peut-être est-ce qu'il devrait dire merci; mais merci de quoi ? De porter enfin un peu d'attention à son cadet ou autres ?! Enfin, il avait dit oui, c'était surtout pour plaisir à Dianna, il savait que sa petite sœur adorée serait aux anges de savoir que Seb avait accepté même si cela lui coûtait.

Pour Dianna. Voilà le mot d'ordre, c'est pour cela qu'il retourna dans le bureau de son frère non pas pour lui dire que son dîner il pouvait se le fourrer profond, mais plutôt que ce n'était le jour qui ne lui allait guère. Bien entendu, il ne précisa pas pourquoi histoire de ne pas se prendre une remarque désagréable de son aîné. Haussant un sourcil à ce que dit Anderson par la suite, Sebastian ne tarda pas à répondre du tac au tac Si je le fais, c'est pour Dianna. Je tâcherai de me contenir autant que possible du moment que tu ne me cherches pas... comme t'es juste en train de le faire. S'il avait pu le fusiller du regard, il l'aurait fait. C'est vrai quoi, c'était quoi ses insinuations ?! Comme si Rob était blanc comme neige... cette idée était à mourir de rire. La conversation continua et sans faire exprès le plus jeune expliqua de vive voix que Devin passait beaucoup de temps peu habillée lorsqu'ils étaient chez eux, ce qui provoqua une crise de fou rire du plus âgé. Sérieusement... qu'est-ce que cet aveux avait de si drôle ?! Okay c'était une gaffe, mais mis à part ça. A ce moment-là on aurait presque dit qu'Anderson était un gamin de cinq ans capable de se marrer pour ce genre de chose. Rob ! souffla t-il visiblement assez agacé. Il ne manquerait plus que le plus âgé ne matte sa femme en plus. Alors là plutôt crever que d'assister. Ce qui veut dire que chez toi, il n'y a rien d'intéressant à voir ?! Il doit être content ton copain de savoir ça... Il se tut quelques secondes avant de grogner Et ne t'avises pas de mater ma femme, parce que mon poing risque de partir sans que je ne contrôle rien. Est-ce qu'il venait de le menacer ?! Oui... Oui... mais ce n'était pas bien méchant, c'était plutôt pour dire que sa femme c'était chasse gardée et que personne n'avait le droit d'y toucher, et que de la regarder un peu trop intéressement c'était un crime. Heureusement, Devin était un peu pareil avec lui, très jaloux et très possessifs mais ils se faisaient confiance. Enfin, si tu veux qu'on le fasse à mon appartement, si tu veux, il n'y a pas de problèmes. Ouais.. enfin entre la déco et la balançoire niveau vanne il allait en prendre pour vingt ans! Avec un peu de chance Rob aurait l'intelligence de comprendre qu'ils vivaient dans deux mondes différences et tairaient les plaisanteries non seulement au cours du dîner mais aussi par la suite.
Bref ce sujet clos, voilà que le plus âgé lui proposa de la limonade. Pendant quelques instants, il se demanda s'il était sérieux ou pas, mais visiblement oui... J'en veux bien un peu, merci. Allez zen, il fallait détendre l'atmosphère, … mais seulement Rob parla encore de sa femme d'une façon qui ne plut guère à Sebastian Devin ne surveille rien du tout... Je peux manger ce que je veux quand je veux... C'est juste moi qui t'ais dit non... pourquoi t'as besoin d'être si désobligeant avec elle ?! Oui voilà, c'était peut-être ça aussi qui pouvait expliquer pourquoi ils ne se parlaient plus trop... Et là, étonnamment, il lui posa des questions auxquelles Seb ne t'attendait aucunement et qui le déstabilisèrent Oui... tout va bien... merci. Enfin question financier, ça pourrait aller mieux, mais ils n'avaient pas de dettes, et avec le travail de Devin, ils allaient pouvoir vivre un peu plus confortablement. Qu'est-que t'as là ? T'es malade, pour me demander de telles choses ?! Et si c'était au tour du plus jeune d'être un peu inquiet pour son aîné ?