Finalement après plusieurs moi et une belle peau neuve, nous avons décidé de relancer l'aventure en espérant que vous serez la partie. Découvrez les nouveautés et amusez-vous
lac. Je venais de laisser la porte du vestiaire se fermer derrière moi. Il était tard, la plupart des infirmiers étaient partis et j’étais seule dans le vestiaire. La porte s’ouvre et un grand roux arriva. Je déglutie. Eliott. Comment pourrais-je oublier ce qu’on avait vécu ? Regardant le fond de mon casier, je ferme mes yeux et me remémore. Un flash. J’étais allongée sous les décombres, Un cri me réveilla que très légèrement, c’était celui du patient, enfin d’une petite fille qui était sous moi. Elle était effrayée et pleurait. Me voir me réveiller la rassura, mais une vive douleur ‘a fait grogner et serrer des dents. L’explosion … j’avais eu ce reflexe, je ne sais même pas comment d’ailleurs, de protéger la patiente des décombres. J’avais tout pris. Et puis, des voix. Les pompiers débarquèrent et nous sortaient de là. Je me suis évanouie il me semble. Et puis, les jours suivants, quand je suis revenue, j’ai beaucoup discuté avec Eliott. Un échange de regard fait qu’on s’est embrassé et … vous pouvez deviner la suite. On couche ensemble de temps en temps. J’avais eu peur au début, car j’ai été violée et torturée par mon frère, mais … Eliott est tout autre. Il est doux, attentionné. Mes doigts effleurent mes lèvres, un léger sourire se fait et je secoue ma tête en prenant mes affaires. Mon regard se porte sur le dos d’Eliott. Je m’humecte les lèvres
« Hey … ça va bien ? »
Lui demande-je avec une voix mal assurée. Je n’étais pas comme avec les autres quand il était là. Il me troublait. Il était différent des autres hommes que j’ai pu rencontrer jusque-là. Il était fort, il pouvait m’écouter pendant des heures, même si certains secrets … je peinais à les lui dire. Comme si, j’avais honte. Il sait pour le cancer et la mort de ma mère … mon père qui me battait et m’a jeté dehors, mais pour mon frère ? Non. C’était la seule chose que je n’arrivais pas à lui dire. Malgré tout, j’appréciais sa compagnie, prenant mes habits propres et de quoi me laver contre moi, je m’appuie sur les autres casiers près de lui et le regarde. Il savait que lui aussi, pouvait tout me dire. J’étais une tombe, bonne confidente, une amie présente pour les autres
« Je hum … je vais prendre ma douche … »
Sur ce, je m’enlève doucement et lui tourne le dos. Mais … ça voulait tout dire. S’il voulait venir vaec moi, c’était possible. Je rentre donc dans les douches. Je me déshabille et pose mes affaires sales dans un coin. Ma serviette est posée sur le rebord et me voila entrée. J’ouvre l’eau chaude qui tombe sur moi. Je ferme les yeux, appréciant le contact de l’eau ma peau et mes cheveux. Je relève ma tête, enlève mes cheveux et commence à me savonner. Je regarde le mur, pensant aux patients que j’ai eu tout au long de la journée. C’était très épuisant. Mais j’aime beaucoup ce métier. Je soupire légèrement, j’espère qu’il allait venir, j’avais besoin de réconfort et de passer du temps avec lui. J’ignore si c’était de l’amour, mais en tout cas, je suis très attachée à lui. Je déglutie et ouvre mes yeux, et si jamais je me plantais royalement ? Je soupire, c’était certainement vrai, je n’en sais rien. En attendant, je sens tout le poids de cette journée partir en un rien de temps et franchement ça fait un bien fou
Eliott A. Smith
Messages : 37 Date d'inscription : 06/05/2013
Sujet: Re: Quand on s'apprête à partir ... (eliott) Jeu 9 Mai - 19:31
Quand on s'apprête à partir
Olivia & Eli
La journée fut longue, vraiment longue. J'avais passé ma journée à courir partout, dans les différents étages de l'hôpital, et j'étais complètement lessivé. Mais heureusement, cette journée touchait à sa fin, pour mon plus grand bonheur. La plupart des infirmiers étaient déjà tous partis en raison de l'heure tardive. Il ne devait rester que moi et une ou deux autres personnes sûrement. Ayant finit mon service, je me dirigeais vers le vestiaire, que je pensais vide, mais en fait non puisqu' Olivia s'y trouvait aussi. La jeune femme et moi nous étions rapprochés après l'attentat. Attentat qui marquait encore les esprits, surtout ceux du personnel de l'hôpital. Je n'avais était que très peu blessé, heureusement et Gaby qui était là à ce moment là, m'avait prêter main forte pour venir en aide à quelques patient étant donné qu'il avait son brevet de secourisme. Olivia elle avait été plus touchée, étant donné qu'elle avait tenté de protéger une petite fille, en recevant elle même tous les décombres. A son retour de l'hôpital les jours suivants, on à beaucoup parlé de choses et d'autres, et une chose en entraînant une autre nous avons finis par nous embrasser et pas que.. Depuis, il nous arrive de coucher ensemble de temps en temps.
« Hey … ça va bien ? » me lança la jeune femme. Un sourire se dessina sur mes lèvres. Nous ne nous étions quasiment pas vu de la journée, même à la pause déjeuner. Et bizarrement, ne pas la voir me manquais, car j'appréciais énormément sa compagnie.
« Ça va je te remercie. Et toi? » répondis-je toujours en souriant. En fait, je l'appréciait tellement que lorsque je la voyais, je ne pouvait que sourire. Olivia m'a confié pas mal de choses, sur sa mère et sa maladie, la façon dont son père l'avais traitée, et je trouvais ça tout simplement nul. Comment un parent peut lever maltraiter son enfant? Elle avait vraiment vécu des choses pas facile.. Et sur ce point là, nous étions pareil. Certes, ma mère n'est pas morte d'un cancer, et mon père ne m'a pas frappé et ne m'a pas mis à la rue, tout simplement parce que mes parents sont mort alors que je n'avais que dix ans. Elle le savait, je lui en avais parlé. Je lui il avait dit aussi que ma grand mère est morte, qu'elle aussi à quitté ce monde. En revanche, je ne lui avais pas parlé de mes deux tentatives de suicide même si on pouvait clairement voir les cicatrices qu'avait laissé la première. Je ne jugeais pas utile de lui en parler, et elle n'avait jamais aborder le sujet non plus. La mort de mes proche je n'en parle pas à tout le monde, seulement aux personnes qui sont proche de moi, comme Gaby par exemple, à qui je me confiais beaucoup aussi.
« Je hum … je vais prendre ma douche … » me dit-elle avant de me tourner le dos afin de se rendre dans les douche. Sa phrase était vraiment explicite, elle voulait clairement tout dire. Elle voulait que je la rejoigne même si elle ne me l'avait pas dit explicitement, seulement avec une phrase détournée ce qui me fit sourire. La rejoindre était vraiment une bonne option, surtout après une longue journée comme celle là.
« Longue journée hein.. » lui murmurais-je à l'oreille alors que je venais de rentrer dans les douche sans faire de bruit pour la surprendre. J'étais placé juste dérrière elle. J'aimais vraiment passé du temps avec Olivia, elle à ce petit truc en plus par rapport aux autres filles, que je ne saurais expliquer, et j'aime énormément passer du temps avec elle. Amoureux? A vrai dire, je ne sais pas vraiment.. Peut être. Peut être pas. L'amour c'est un sentiment que je n'ai jamais vraiment côtoyé, non pas que j'y sois réfractaire, mais je ne suis jamais vraiment tombé amoureux. Et puis, je ne voulais pas me faire des idées pour rien, peut être qu'Olivia, ne ressent rien pour moi, alors autant ne pas s'embarquer à avoir des sentiments qui pourraient me faire plus de mal que de bien.
Spoiler:
C'est nul
Dernière édition par Eliott A. Smith le Ven 10 Mai - 22:57, édité 2 fois
Olivia P. Taylor
Messages : 26 Date d'inscription : 07/05/2013 Age : 34
Sujet: Re: Quand on s'apprête à partir ... (eliott) Ven 10 Mai - 9:41
Les vestiaires ◈ OLIVIA & ELIOTT
Quand on s’apprête à partir …
Mieux vaut être indifférent et digne que malheureux et pathétique.
e venais de voir Eliott. Poliment, je lui demande s’il va bien et je lui souris. Appuyée sur ce casier je le regardais. Il me relança la question
« Et bien ouais ça va. Comme d’habitude »
J’hausse les épaules. La routine était revenue dans nos vies et nous faisons, presque tous, comme si de rien ne s’était passé pour pouvoir vivre notre propre vie et oublier ce qu’il s’est passé. Sauf que moi, je n’oublie pas. Je me souviens d’une énorme BOUM et du plafond qui se fissure. J’avais déglutie, baissé le lit de la patiente et ni une ni deux me suis mise sur elle lui promettant que tout irait bien. Et PAF le poids sur mon dos m’avait fait perdre connaissance. Les pompiers et d’autres hommes sont venus pour me tirer de là. J’ai été dans un brancard et de suite hospitalisée. A moitié dans les vapes, j’avais cru voir Eliott courir vers la salle d’op’ pour me sauver. Je me suis révanouie dans un sourire. Depuis cet attentat, nous nous sommes rapprochés. Beaucoup trop même. Cependant, ça ne me dérange pas, bien au contraire. Ça m’a permit de m’ouvrir, de me sentir bien à ses côtés et de ressentir des choses que je n’avais jamais ressenties. J’étais devenue peu à peu accroc à ce mec. A nos retrouvailles. Nos coucheries, mais aussi nos confidences après avoir couché ensemble. La première fois avec lui, c’était assez flippant car pour vous dire … après mon frère, bien que j’eusse fait les tests de VIH et autre, je n’ai jamais rien fait pas peur. Peur de souffrir et du mec en question, mais Eliott m’a suffisamment mis en confiance et j’avais l’impression que c’était ma première fois, que tout ce que j’ai ressenti … et bien jamais avant je ne l’avais ressenti. Il n’y avait pas de viol, pas de déchirures, pas de coups, ni de pleurs ou de cris, juste de la tendresse, de la douceur et une intensité. J’ai ressenti des choses que jamais je n’ai ressenti et j’ai toujours cette envie de les ressentir mais qu’avec lui. Je déglutie et lui balance que je vais sous la douche. Rien de plus pour qu’il comprenne ce que je veux. Me voila sous l’eau, le cœur battant, me sentant toute rouge. Je souris. Nouille, il va pas venir, arrêtes de te faire des idées. C’est alors que mes sens entrent en éveilles. Je déglutie, il est derrière moi. En face du mur, je souris. Je ferme les yeux et le sent contre moi
« Oui … très dure »
Dis-je en me retournant. Je lui fais face. Le savon venait de partir, mais ce n’est pas grave. Cette situation était tout sauf embarrassante. Là, doucement, je lui caresse le visage, proche de lui, mon cœur bat comme un fou. Je l’embrasse mêlant nos lèvres à l’eau chaude, j’appréciais énormément ce moment, c’était aphrodisiaque. Quand je pense qu’on me l’avait sorti et que jamais je le croyais ... et bien oui. J’embrassais Eliott, mes mains sur son visage, je me sentais déjà vacillée. Je me colle à lui
« On … pourrait aller chez toi après … ? Sinon … je peux rentrer chez moi ce … c’est pas un problème »
Je n’avais nullement envie d’être imposante, de l’embêter. Mais coucher sous la douche, ça pouvait être très excitant, mais sait on jamais qui débarque par là. Je continue de l’embrasser, caresser son visage, son corps bien fait du bout des doigts l’attirant contre moi, moi appuyée au mur froid, l’eau toujours sur nous. J’avais envie de lui … pas qu’on couche ensemble, mais qu’on fasse l’amour. J’avais peur de lui dire ce que je ressentais, peur qu’il se moque de moi, peur qu’il me rejette. Alors, ce qu’il me donne le temps de nos retrouvailles, ces moments de câlins intenses et bien ça me va, même s’il n’y a rien de plus que du sexe, il ya bien plus que ça … mais si jamais il ne ressentait rien pour moi … disons que c’est une consolation comme une autre
Spoiler:
Non s’pas nul alors pschut è_é
Eliott A. Smith
Messages : 37 Date d'inscription : 06/05/2013
Sujet: Re: Quand on s'apprête à partir ... (eliott) Ven 10 Mai - 22:46
Quand on s'apprête à partir
Olivia & Eli
Cette journée longue et fastidieuse se terminait plutôt bien en fin de compte puisque, j'étais là, dans les vestiaire, en compagnie de la plus jolie infirmière de l'hôpital. Ok, je le conçois, je ne suis pas objectif sur la question.. Bien que, ce soit vrai. Non pas que les autres infirmières soient moches, parce que Alexis ma colocataire est jolie aussi, mais pas autant qu'Olivia.
« Et bien ouais ça va. Comme d’habitude » m'avais t-elle répondu quand je lui avais retourné moi même la question. La vie avait repris son cours depuis l'attentat, mais nous restions encore marqué par cet événement. Certains plus que d'autres. Surtout psychologiquement, parce que venir travailler tout les matins, avec la peur au ventre, ce n'est pas forcément quelque chose d'agréable. Mais on continue, on sourit, on fait bonne figure pour nos patients. Car la vie n'est déjà pas facile pour eux, cloués dans ces lits d'hôpital en attendant que la grande faucheuse vienne les prendre, ils n'ont pas en plus besoin d'un personnel médical qui fait la tronche. D'une manière implicite, la jeune femme m'avait glisser qu'elle allait prendre sa douche, voulant me faire comprendre qu'elle voulait que je la rejoigne ce que je fit, lui murmurant que la journée avait été dure.
« Oui … très dure » avais t-elle dit en se retournant pour me faire face. L'eau chaude coulait sur nos corps alors que nos lèvres se rencontraient dans un baiser. Mes mains glissaient doucement sur son corps. J'aimais l'embrasser et être avec elle. Passer du temps avec elle me faisait oublier tous les petits tracas de la journée. On ne faisait pas que coucher, on discutait aussi. Librement, sans que l'un de nous deux ne juge l'autre et ça c'était la chose vraiment cool entre nous. Pour moi, Olivia était un peu plus que du sexe, elle n'était pas seulement un plan cul, que l'on saute de temps en temps juste parce qu'on en à envie. Non, elle était plus que ça.
« On … pourrait aller chez toi après … ? Sinon … je peux rentrer chez moi ce … c’est pas un problème » ajouta t-elle. Le fait qu'elle hésite, qu'elle ne soit pas sûr d'elle je trouvais ça vraiment mignon. Je souriais, sans répondre continuant à l'embrasser, mêlant ma langue à la sienne. L'eau chaude continuait de couler, réchauffant nos deux corps.
« Tu crois que j'ai vraiment envie que tu rentres chez toi? » dis-je en souriant. Oh ça non, je n'en avais pas la moindre envie. Tout ce dont j'avais envie c'était de passer du temps avec elle. Passer de tendres moments. Certes là nous étions tous les deux, mais l'endroit était loin d'être vraiment intime étant donné que n'importe qui pouvait rentrer à n'importe quel moment. Mes lèvres vinrent rencontrer les siennes à nouveau dans un langoureux baiser lorsqu'une porte claqua nous tirant de notre petite bulle. Un soupire s'échappa d'entre mes lèvres.
« Finis ta douche je t'attends » dis-je dans un murmure avant de sortir des douches, retournant dans les vestiaires pour enfiler mes vêtements. Nous n'étions effectivement plus seuls. Un infirmier venez d'arriver dans la pièce pour se changer avant de rentrer chez lui. Je le saluais poliment, m'asseyant sur un banc pour attendre Olivia. L'appartement, serait effectivement un endroit plus tranquille même si je le partage avec Alexis. Par chance, cette dernière n'était pas là ce soir car elle était de garde à l'hôpital. L'infirmier présent dans les vestiaires, prit le chemin de la sortit, se demandant sûrement ce que je faisais là, à attendre. J'avais hâte que la jolie infirmière sorte de la douche, car son contact me manquait déjà.. Décidément, je commençais à ne plus pouvoir me passer d'elle.. Accro? Sûrement, mais je me gardais bien de le lui dire, car avec ma chance, ce n'était sûrement pas réciproque.
Spoiler:
Celui là est nul aussi *pastaper*
Dernière édition par Eliott A. Smith le Mar 14 Mai - 13:54, édité 1 fois
Olivia P. Taylor
Messages : 26 Date d'inscription : 07/05/2013 Age : 34
Sujet: Re: Quand on s'apprête à partir ... (eliott) Lun 13 Mai - 17:46
Les vestiaires ◈ OLIVIA & ELIOTT
Quand on s’apprête à partir …
Mieux vaut être indifférent et digne que malheureux et pathétique.
tre là, sous la douche avec Eliott, c’était … j’appréciais en réalité. Je me suis retournée, lui répondant, appréciant l’embrasser sous l’eau chaude et l’avoir contre moi. Je me sentais de suite apaisée par sa présence. Je fermais les yeux, souriant légèrement. Ses doigts sur mon corps, son souffle sur mon visage, sentir son regard … en tout chez lui m’attirait. J’étais sous son charme. J’appréciais tout en lui, surtout ce qu’il était, représentait pour moi. Je déglutie, rouvrant mes yeux, j’espérais que personne ne viendrait nous déranger. C’est alors que j’émis l’hypothèse d’aller chez lui. Mais je me rattrapais. S’il ne désirait pas de ma compagnie, je ne serais pas son fardeau. Sa réponse me fit l’effet d’un électrochoc. Je rougis d’un coup, déglutie aussi sec et fut surprise par le baiser d’Eliott. Je fermais les yeux, appréciant réellement se contact, me collant à lui, ma poitrine sur son torse bien fait. Je lui caressais le visage et alors que j’étais prête à aller plus loin … *CLAC*, une porte s’ouvrit et se ferma. Je rompis le baiser par timidité. Faites qu’il ne vienne pas là ! Eliott rompit ce contact, cet échange et d’un murmure, me demanda de me dépêcher pour le rejoindre. J’hochais la tête, ma main quittant la sienne avec du mal. Je restais un instant sous la douche, fermant les yeux, mettant les mains sur mon visage. Que m’arrivait-il ? Je n’en savais rien. Je me dépêchais de me laver, éteignis l’eau, me couvrant dans ma serviette et m’en allais vers les vestiaires pour m’habiller. Je fais donc face désormais à Eliott. Mes cheveux sont presque sec, je les brosse et les passe rapidement au sèche cheveux. Puis, je les attache et met ma veste
« Allons-y »
Lui dis-je en lui volant un baiser avant de sortir. Pendant toute la traversée de l’hôpital, j’ai eu cette impression de regards posés sur moi. Je souriais tout de même, je m’en fiche en fait. Eliott … je l’apprécie énormément et qu’importe ce qu’on peu dire sur nous, j’en avais juste rien à faire. Nous voila donc dehors. On marche vers sa voiture, s’y installe, il allume le contact et nous voila paraît à partir vers chez lui. Durant tout le trajet, je regarde le ciel gris et pense à tout ce que nous avons vécus, une question décide de me tarauder l’esprit : dois je tout lui révéler ? De ce que mon frère m’a fait subir ? Je ne sais pas. Je verrais. Je me torture l’esprit pendant tout le trajet et l’arrêt du véhicule m’a sorti de mes pensées. Je descends de sa voiture et le suis vers son immeuble. On prend l’ascenseur et je le regarde
« Ça fait du bien d’être parti du boulot»
Dis-je en souriant. Je baisse ensuite la tête, je rougis. Je suis réellement intimidée par lui. Et puis, je tiens énormément à Eli’, plus que quiconque. L’ascenseur s’ouvre et nous arrivons dans le couloir pour arriver près de sa porte. Une fois dans son appart, j’enlève mes chaussures, pose mon sac, caresses ses chiens qui ont décidés de nous dire bonjour, et me relève. Je regarde Eliott, comme par timidité, bien que je connaisse son appartement
Eliott A. Smith
Messages : 37 Date d'inscription : 06/05/2013
Sujet: Re: Quand on s'apprête à partir ... (eliott) Mar 14 Mai - 15:22
Quand on s'apprête à partir
Olivia & Eli
Nous étions là, tous les deux, dans les douches des vestiaires de l'hôpital. Nous échangions des baisers, alors que l'eau bouillante réchauffait nos deux corps. Nous nous embrassions lorsqu'un bruit de porte ce fit entendre, nous tirant de nos câlins. J'avais soupirer d'agacement parce qu'être dérangé, surtout dans un moment comme celui là n'était pas quelque chose que j'appréciais, qui apprécie de toute façon? Heureusement, Olivia avait proposer quelques seconde plus tôt, et sur un ton hésitant, qui la rendait encore plus craquante, d'aller chez moi, histoire d'être un peu plus tranquille. J'avais, confirmer que je voulais effectivement que l'on continue la soirée chez moi, avant sortir des douche et de l'attendre. La jeune femme ne mit pas de temps à revenir dans les vestiaires pour s'habiller.
« Allons-y » lança t-elle une fois prête en me volant un baiser. Je souriais, en lui emboîtant le pas vers la sortie. Certaines personne encore présentes, telle que les infirmier et infirmière de garde nous observaient, les internes aussi. J'ai même pu apercevoir Alexis qui m'avait lancé un clin d'oeil qui voulait tout dire. Les gens se doutaient qu'il y avait quelque chose entre nous étant donné que nous passions beaucoup de temps ensemble, néanmoins, ils ne connaissaient pas vraiment la nature de notre relation et de fait, se posaient beaucoup de questions. En moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire, nous étions arrivé sur le parking ou était la voiture que j'avais hérité de ma grand mère. Un vieux tacot certes, mais qui roulait encore très bien. Le trajet jusqu'à l'appartement fut plutôt silencieux, car Oli semblait être plongée dans ses pensées. Moi, je me concentrais sur la route, tout en écoutant la musique que jouais à faible volume le vieil auto radio.
« Ça fait du bien d’être parti du boulot » me dit-elle en souriant et en rougissant alors que nous sommes dans l'ascenseur. Oh ça oui. Rien de mieux que de rentrer chez soi, après une dure journée de travail comme celle ci. Je la regarde en souriant et me contente d'acquiescer. La grande cage de fer arrive à mon étage, les portes s'ouvrent, et nous le quittons pour nous rendre à mon appartement. Whisky et Coca nous attendent derrière la porte, et ne se privent pas pour nous faire la fête à peine étions nous rentrés. Olivia les caresse et j'en fais de même.
« Tu veux manger ou boire un truc? La journée à été longue. » proposais-je en souriant et en déposant mes clefs sur la petite console qui se trouvait juste à côté de la porte d'entrée. Ma proposition était un peu kamikaze car je n'avais aucune idée de ce que notre réfrigérateur contenait. La veille avec Alexis, nous avions commandé une Pizza par manque de temps pour faire les courses et je n'avais aucune idée de si elle les avait faites ou pas. Pour ma part, pour une fois, je n'avais pas spécialement faim. Voire même pas du tout. Tout ce que je voulais, c'était passer du temps avec Oli. Cependant je lui avait tout même proposé à manger histoire de ne pas passer pour le genre de mec pas attentionné qui n'attend qu'une seule chose.
« Fais comme chez toi hein, c'est pas comme si c'était la première fois que tu venais ici. » dis-je en souriant et en l'emmenant vers le salon. Je déposais un baiser à la commissure de ses lèvres avant d'aller donner à manger aux chiens qui devenaient vraiment pot de colle. Tout en nourrissant mes deux petits monstres, je pensais à Olivia qui attendait dans le salon. Perdu dans mes pensées, ma maladresse légendaire me joua des tours et le verre que j'avais dans la main s'éclata sur le sol dans un fracas étonnant. Je levais les yeux au ciel en soupirant, avant de baisser pour ramasser les éclats de verre au sol, en faisant attention de ne pas me couper, c'est pourtant ce qui arriva, et cela me fit jurer à voix haute. Je me maudissais, car la soirée avait pourtant bien commencé. Et je me demandais ce qu'Olivia allait penser de moi, elle allait sûrement me trouver ridicule.
Dernière édition par Eliott A. Smith le Ven 17 Mai - 15:50, édité 1 fois
Olivia P. Taylor
Messages : 26 Date d'inscription : 07/05/2013 Age : 34
Sujet: Re: Quand on s'apprête à partir ... (eliott) Ven 17 Mai - 15:37
Les vestiaires ◈ OLIVIA & ELIOTT
Quand on s’apprête à partir …
Mieux vaut être indifférent et digne que malheureux et pathétique.
peine entrés que Whisky et Coca nous sautaient dessus comme des fous. Ces chiens m’adoraient et moi aussi par la même occasion. Je les caressais tour à tour, souriante. Ça faisait du bien de revenir après une journée éprouvante et puis ce n’est pas tout, dans la voiture, j’étais partie dans mes pensées, écoutant la musique, dormant presque. Je me tâtais sur plusieurs choses, mais je pense que je vais révéler ma vie entière à Eliott lorsque le moment sera plus propice car ce n’est pas vraiment des choses à se dire. Bien qu’il sache une grosse partie, il ne connait pas la principale. Enfin bon. Je le suivais, enlevant mes chaussures à l’entrée et posant mon sac sur le meuble, là, Eliott me demanda si je voulais boire ou manger quelque chose. J’hausse les épaules
« Bah … donnes moi ce qu’il te passe sous la main sinon, rien manger ou boire ne me dérange pas »
Dis je en souriant. Eliott m’emmena dans le salon et m’embrassa près de la bouche, ce qui me fait faire un badaboum dans la cage thoracique. Alors qu’Eliott s’était enfui dans le cuisine, je me laisse me poser sur le canapé et laisse mes yeux se fermer. C’est alors que deux chiens firent leur apparition. Juste avant de manger, ils venaient de quémander des caresses et une fois avoir entendu les croquettes dans la gamelle qu’ils s’enfuient vers la direction de leur nourriture. Je souris et me relaisse me poser juste un petit instant. Je faisais donc un somme lorsqu’un verre s’éclata sur le carrelage. J’ouvre mes yeux c’est là que j’entends un juron. Je souris et secoue ma tête avant de me lever. Doucement, je vais vers lui
« Bah alors … tu deviens maladroit toi. Viens là que j’te soigne »
Jétais moqueuse, ça je peux me l’avouer, mais une moqueuse gentille quand même. Je faisais attention où je marchais, lui prends son doit, le passe sous l’eau, enlève ainsi les morceaux de verre et met son doigt blessé dans un essuie tout. Je gardais son doigt dans mes mains et plongea mes yeux dans les siens
« Voila je pense que … ça devrait aller … normalement »
Eliott A. Smith
Messages : 37 Date d'inscription : 06/05/2013
Sujet: Re: Quand on s'apprête à partir ... (eliott) Sam 18 Mai - 14:29
Quand on s'apprête à partir
Olivia & Eli
Il avait encore une fois fallut que ma maladresse me joue des tours. J'étais dans la cuisine, nous préparant de quoi boire, lorsque mon verre m'avait échappé des mains, s'écrasant sur le sol en mille petits morceaux. Réveillant sûrement la curiosité de la jolie infirmière qui m'attendait au salon. Je me maudissais moi même d'être aussi maladroit.
« Bah alors … tu deviens maladroit toi. Viens là que j’te soigne » ajouta t-elle sur un ton moqueur. Je ne devenais pas maladroit, je l'étais depuis toujours.. Déjà tout petit, je rendais ma mère complètement folle avec ma maladresse. En grandissant, ça ne s'est pas forcément arrangé, bien qu'ayant appris à me concentrer un peu plus sur les activités que j'entreprenais, j'arrivais à faire moins de dégâts. Étonnant donc de me savoir infirmier alors que je suis maladroit. Mais à l'hôpital, une fois bien concentré, tout se passe comme sur des roulettes. Oli était un peu moqueuse, mais c'est ça que j'aimais aussi chez elle, car je savais pertinemment que ce n'était en aucun méchant.
« Voila je pense que … ça devrait aller … normalement » me dit-elle en souriant après m'avoir soigné. Ce n'est pas quelques gouttes de sang qui allaient m'effrayer. La situation était plutôt comique, l'infirmier qui se fait soigner par l’infirmière, et de loin la plus jolie des infirmière. Moi? Manquer d'objectivité? C'est vraiment pas mon genre. Mais il faut se l'avouer, Oli est vraiment très jolie. Bien trop belle et trop gentille pour moi. C'est d'ailleurs pour cette raison que je garde le fait qu'elle n'est pas seulement une fille avec qui je couche..
« Je deviens pas maladroit, je l'ai toujours était.. Mais je pensais à autre chose, j'ai pas fait attention, et voilà, ce qui devait arriver arriva » dis-je en souriant, à vrai dire, pour être tout à fait sincère, si ce verre m'avait glissé des mains c'est parce que j'étais dans mes pensées à ce moment là. Je pensais à Oli, au fait que peut être, il se pouvait que je ressente plus que de l'amitié même si ô grand jamais je n'oserai lui avouer.
« Merci.. » soufflais-je alors, que ses beaux yeux noisettes étaient posés dans les miens. Je souriais en la regardant avant de venir déposer mes lèvres sur les siennes, dans un chaste baiser d'abord puis le prolongeant de manière bien plus langoureuse. Je la serrais contre moi, oubliant ma « blessure ». Le temps était comme suspendu. Plus rien ne comptait à part nous deux. Et contrairement à tout à l'heure dans le vestiaire, personne ne viendrais nous déranger. Peut être que m'attacher autant à elle n'était pas une bonne chose, peut être que ce n'était pas réciproque, peut être que je n'étais que son sex toy après tout.. Mais j'étais bien trop attaché à elle pour faire demi tour.
Spoiler:
C'est pas top, je sais, mais je voulais te répondre avant de partir chez moi père car je reviens pas avant Lundi soir normalement.
Dernière édition par Eliott A. Smith le Jeu 23 Mai - 21:40, édité 3 fois
Olivia P. Taylor
Messages : 26 Date d'inscription : 07/05/2013 Age : 34
Sujet: Re: Quand on s'apprête à partir ... (eliott) Lun 20 Mai - 11:09
Les vestiaires ◈ OLIVIA & ELIOTT
Quand on s’apprête à partir …
Mieux vaut être indifférent et digne que malheureux et pathétique.
était assez drôle comme situation. Un infirmier qui se fait soigner par une infirmière. Je me moquais gentiment de lui et il semblait bien le prendre. Je gardais son doigt dans le torchon alors qu’il me répliquait qu’il était maladroit de nature. Je fis un sourire en coin. Je baissais la tête avant de la remonter. Là, je penchais ma tête et souris
« C’est pas bien grave d’être maladroit »
Là, je lui enlève une mèche qui dépasse sur son front, allant cacher légèrement son œil. Il me dépose un doux et tendre baiser sur mes lèvres. Je le laisse faire et apprécie dès lors la suite des évènements. Je le laisse me coller à lui et l’embrasse tout comme lui. Mon cœur battait comme un fou, je me sentais valdinguer ailleurs, comme si mon âme s’envolait vers d’autres cieux. Je prends son visage entre mains, me collant encore plus contre lui, le forçant à se coller au lavabo. Mais je m’arrête. Le verre au sol. Je déglutie et interrompt le baiser
« Faut peut être … enlever le verre à cause des chiens »
Boum … boum … boum … mon cœur faisait le fou dans ma cage thoracique. Je déglutie, reprenant mon souffle. Là, je l’aide à enlever le verre pour éviter un nouvel accident pour les chiens et une fois que le sol est propre et que nos mains soient débarrassées du verre, je l’attaque une fois encore. Je l’embrasse fougueusement, j’avais terriblement envie de lui, de passer ma nuit avec lui peut être même autre chose. Notre relation avait évoluée dans quelque chose de fou. De collègues, nous sommes devenus amis puis amants. Mais j’aimerais sincèrement être plus qu’un coup de plusieurs soirs. Je voudrais tellement être avec lui, être sa petite amie, qu’on partage quelque chose ensemble. Le rendre heureux et être heureuse. Mais j’ai peur que quelque chose se casse, alors en silence, je couche avec lui et profite un maximum des évènements qui se passent entre nous. Je m’enfuis dans son cou, déposant des baisers sur sa peau chaude, mes mains se font baladeuses et entrent dans son t-shirt. Je l’embrasse une fois encore, mêlant nos langues entre elles. Je tremblais de tout mon long. On pourrait penser que c’est le froid, hors c’est juste l’émotion de ces instants, instants que j’aime par-dessus tout.
Eliott A. Smith
Messages : 37 Date d'inscription : 06/05/2013
Sujet: Re: Quand on s'apprête à partir ... (eliott) Ven 24 Mai - 1:13
Quand on s'apprête à partir
Olivia & Eli
« C’est pas bien grave d’être maladroit » Non, ce n'est pas grave en effet, mais ça peut vite devenir agaçant, lorsque tous ce que l'on touche, ou presque fini écrasé sur la sol.. Mais en soi, oui, ce n'est pas bien grave. Et puis là, il ne s'agissait que d'un simple verre rien de plus.
Regardant Olivia dans les yeux, j'avais chastement déposé un baiser sur ses lèvres avant que celui ci ne devienne plus langoureux. La demoiselle c'était prêtée au jeu, en inversant même la tendance, en me collant contre le lavabo, et en se collant un peu plus contre moi. Mon coeur battait la chamade et une sorte de petite bulle s'était formée autour de nous. Petite bulle qui fut vite éclatée lorsque Olivia quitta mes lèvres, me précisant qu'il fallait ramasser les bouts de verres qui jonchaient le sol pour éviter que les chiens ne se blessent avec. Elle avait raison, mais c'est vrai que sur le coup, ces bouts de verre m'étaient sortis de la tête.
En moins de temps qu'il n'en fallut pour le dire, les éclats de verres furent ramassés précautionneusement histoire de ne pas se blesser. Une fois cela fait, Oli m'embrasse de nouveau fougueusement, mon coeur à reprit sa course folle et il tambourine dans ma poitrine au contact de la belle. Ses lèvres quittent les miennes pour venir trouver mon cou, ce qui bien entendu me fit frisonner. Ses mains se baladaient sous mon t-shirt, j'aimais sentir ses mains douces sur ma peau. Je caressais son dos du bout des doigts avant de venir lui retirer son haut. Je quittais ses lèvres pour venir déposer de tendre baiser juste au dessus de sa poitrine ce qui la fit frissonner. Doucement, je quittais sa peau, et la prit par la main pour l'emmener dans la chambre où doucement je l'allonge sur le lit. J'avais envie d'elle, et elle avait envie de moi.
Je la regardais dans les yeux, en souriant légèrement, et plus je la regardais, plus j'avais envie de lui dire que je désirais plus que ça, que je voulais qu'on soit plus que deux amants qui s'envoient en l'air, mais il fallait que je me retienne, pour ne pas tout gâcher.. Pour éviter de prendre le plus beau râteau de ma vie. Car oui, j'étais persuadé de prendre un râteau si je le lui disais, et que ça brise tout ce qu'il y'a entre nous.
Je fermais les yeux légèrement comme pour "chasser" ces pensées de mon esprit, avant de reprendre possession de ses lèvres, mais aussi de sa nuque, tout en laissant ma main parcourir chaque parties de son corps dépourvues de tissu. La belle infirmière me retira mon t-shirt, qu'elle envoya valser un peu plus loin ses mains avaient donc maintenant tout le loisir de parcourir mon torse. Mes doigts effleuraient sa peau, la faisant frissonner un peu plus à chaque passage. Je continuais de l'embrasser langoureusement tout en commençant à défaire le bouton de son jean.
Olivia P. Taylor
Messages : 26 Date d'inscription : 07/05/2013 Age : 34
Sujet: Re: Quand on s'apprête à partir ... (eliott) Dim 2 Juin - 20:16
Les vestiaires ◈ OLIVIA & ELIOTT
Quand on s’apprête à partir …
Mieux vaut être indifférent et digne que malheureux et pathétique.
ne phrase fait tout pour que lui comme moi s'embrassons avec passion. Cependant, je nous arrête, il fallait enlever les résidus du verre pour protéger les chiens d'Eliott. Une fois fait, je lui capture une nouvelle fois les lèvres pour l'embrasser avec passion. J'étais vraiment bien, ici avec lui, je ne voulais échanger ma place avec personne. Si seulement, ils avait ce que je ressentais pour lui, ou du moins, non, j'ai peur qu'il s'arrête et me dise que je craque pour rien, que je m'accroche à du vent, mais j'espère quand même au fond de mes tripes ... que lui et moi ... et bien, nous allons pouvoir faire quelque chose, construire un petit chemin lui et moi. Enfin bon, je me contente du peu que j'ai. Je fermais les yeux en sentant ses doigts sur ma peau, je le laissais m'enlever mon haut, mon coeur battait la chamade, je le regardais droit devant les yeux, et appréciais sentir sa chaleur contre moi. Il embrasse le dessus de ma poitrine, je frissonne et ferme les yeux. je déglutie, appréciait chaque minutes passées avec lui. C'est alors qu'il me prend la main et je le suis, docilement jusque dans sa chambre, j'avais chopé mon haut rapidement et le lâcha par terre une fois que nous sommes arrivés, il ferme la porte et m'allonge sur le lit. Je suis sous lui, je déglutie encore. Pendant un moment, on restait là, à se regarder dans les yeux, j'avais envie de lui dire ce que je ressentais cependant, je fronçais légèrement mes sourcils, pourquoi était il hésitant ? Quelque chose n'allait pas ? Mais Eliott coupa court dans mes pensées, il m'embrassa avec plus de passions, me caressant chaque parcelle de mon corps presque nu. Je frissonnais à chaque contact et tremblais quand il vint se faufiler dans mon cou. Là, je lui enlève son haut à mon tour et le balance par terre puis, je l'embrassais avec folie, le caressant du bout des doigts. J'avais terriblement envie de lui. Envie d'être avec lui. Sa main descendit vers mon jean qui défit le bouton. Je le laisse faire, curieuse de ce qu'il peut me faire alors, pendant ce temps, je me faufile dans son cou. Lui croque légèrement la peau et le regarde. Là, j'enlève mon soutient gorge. J'avais envie de sentir son corps contre le mien. Nous voila à moitié nu, le désir au corps. J'avais très chaud ... et très envie de lui faire l'amour
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Sujet: Re: Quand on s'apprête à partir ... (eliott)