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 [James] Quand la vie s'acharne...

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Arina von Benckendorff

Arina von Benckendorff
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MessageSujet: [James] Quand la vie s'acharne...   [James] Quand la vie s'acharne... Icon_minitimeVen 30 Nov - 2:27


[James] Quand la vie s'acharne... 929297AnnaSelezneva03
Quand la vie s'acharne.

C omme d’autres matins, le réveil était assez difficile pour une certaine Russe habitant en Grande-Bretagne et plus précisément à Londres. Perturbée depuis l’arrivée de son demi-frère dans le pays, au mois d’aout et bien qu’il n’ai encore rien tenté pour lui faire du mal, Arina von Benckendorff peinait à trouver un sommeil vraiment réparateur, à moins de passer la nuit chez James, ce qui lui arrivait souvent en fait, pour ne pas craquer littéralement en plein boulot. Mais cette nuit, c’était chez elle que la jeune femme avait tenté de dormir. C’est ainsi qu’encore dans le brouillard, la blondinette se leva pour prendre son petit-déjeuner en vitesse avant d’aller prendre une bonne douche.

L’eau chaude coulait sur le corps de la demoiselle qui se glissait dessous avec délice, vu le temps qu’ils se tapaient à l’extérieur, derrière les vitres. La russe resterait bien plus longtemps mais elle n’est pas sans savoir que la chose ne lui est pas permise puisque son professeur et ses « camarades » ne prendraient pas de repos eux. Et il était hors de question de manquer l’enseignement dispensé par un tel homme. Et accessoirement hors de question de prendre du retard dans ses cours. Hors de question de laisser les autres étudiants se montrer meilleurs et plus méritant qu’elle, ça non ! Ce n’était même pas envisageable aux yeux de celle qui avait bien l’intention de rester la meilleure apprentie anthropologue de saint-James.

Quittant sa douche, la demoiselle s’expose devant le radiateur, emmitouflée dans une serviette de bain pour se sécher tout en se réchauffant. Une fois sèche, la demoiselle rangea son bordel, enfila la tenue soigneusement préparée au préalable et entreprit de se coiffer et d’appliquer un tantinet de fards sur son visage. Voilà qui cacherait un tantinet une vilaine cerne qu’elle avait sous chaque œil.

Fermant la porte, son sac à la main, la demoiselle verrouille son logis avec sa clé et quitte le bâtiment pour gagner sa voiture, garée à quelques pas. Allumant avec sa télécommande, la blondinette ouvre la porte passager et dépose son sac sur le siège avant de refermer la portière pour contourner la voiture et prendre place au poste conducteur. Allumant le contact, la jeune femme s’engage dans la panique des rues de Londres au petit matin. Quel agacement ! Tout ça pour rejoindre une petite rue, qui lui permettrait d’éviter les bouchons ensuite pour rejoindre l’hôpital. En gros, un petit quart d’heure pour accéder au raccourcit contre une bonne heure et demie par la voix normale.

Enfin, la jeune femme put s’engager dans la ruelle et au bout de cinq minutes, elle ressortit dans une artère moins engorgée de la ville, où la circulation avançait bien. Même très bien. Surveillant les alentours tout en conduisant, Ariana ne vit pourtant pas venir celle qui, par le côté passager, lui rentra dedans de plein fouet en sortant d’une petite route, renversant alors la voiture. Consciente, la demoiselle entendit du brouhaha, des crissements de pneus, un rassemblement, on s’arrêtait pour voir, pour appeler les urgences. D’ailleurs, une sirène ne tarda pas à se faire entendre. Deux minutes plus tard, des brancardiers descendaient de leur véhicule pour extraire la jeune femme de son automobile et l’allonger sur le brancard afin de l’installer dans la voiture qui, faisant encore chanter ses sirènes, prit la route de l’hôpital alors que la blondinette sombrait peu à peu dans l’inconscience.
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MessageSujet: Re: [James] Quand la vie s'acharne...   [James] Quand la vie s'acharne... Icon_minitimeMar 22 Jan - 19:52

Quand la vie s'acharne..

Arina & James



En médecine, les jours se suivent, mais ne se ressemblent pas vraiment. Pour ne pas dire pas du tout. Chaque cas est différent, chaque patient va réagir différemment à un même traitement donné. Mais c'est aussi qui nous pousse à devenir médecin. Pour la diversité de la chose. Je venais de passer la nuit à l'hôpital car c'était à mon tour d'être de garde, enfin pas vraiment, mais j'avais accepté de dépanner une amie en la remplaçant pour qu'elle puisse se rendre au chevet de son père mourant. De toute façon, personne ne m'attendais chez moi, et donc que je rentre ou pas, ça ne changeais pas grand chose.

Je me dirigeais nonchalamment vers la machine à café, saluant au passage quelques amis internes qui venait tout juste de prendre leur service. Je pouvais le voir à leur mines réveillée et fraîche. Une fois la boisson en mains, je me dirigeais vers l'accueil afin de remplir les dossiers des quelques patients qui venaient de subir une opération. La nuit avait été mouvementée mais la journée qui débutait paraissait plus calme. Remplissant mon dossier, je songeais à Arina. La blondinette vivait quelques moments difficiles ces derniers mois à cause du retour de son bourreau en ville. Elle avait pris l'habitude de dormir chez afin d'être plus rassurée et de se sentir un peu plus en sécurité. Cependant, c'est chez elle qu'elle avait décidé de passer la nuit. Car après tout, si elle voulait vaincre sa "peur" il fallait qu'elle remonte en selle. Qu'elle dorme chez elle, qu'elle se rende compte, qu'elle ne courait pas nécessairement de risques.

Une heure et quatre dossiers plus tard, de l'agitation se fit ressentir au niveaux des urgences. Apparemment un accident de voiture avait eu lieu, et les urgences seraient de nouveau en ébullition. Tout les médecins, y compris moi avaient étaient réquisitionnés. Ma nuit de garde avait été longue et dure, et apparemment, la journée ne s'annonçait pas mieux.. Jetant mon gobelet, je me dirigeais vers les urgences. Tout le monde était déjà dehors, à attendre que l'ambulance arrive ce qui ne tarda pas à arriver.

« Jeune femme agée de 25 ans.. Elle s'est fait percutée par une voiture alors qu'elle sortait d'une petite rue. Elle était consciente sur place mais à commencer à perdre conaissance dans l'ambulance, et ses constantes sont en chutes »

Une fois son diagnostic exposé, l'ambulancier nous passa le relais afin que l'on prenne la demoiselle en charge. Et qu'elle ne fut pas ma surprise lorsque je me rendit compte de qui était en réalité la patiente. Arina ! Je ne comprenais pas bien ce qu'il se passait. Comment avait-elle pu se retrouver là. Elle fut transporté dans une salle de trauma, afin de pouvoir être examinée. Et alors que je m'apprêtais à m'occuper d'elle, mon titulaire leva les yeux vers moi en me lançant que je ne pouvais pas être sur le cas, car considéré comme trop proche.

« Et merde »

Une petite étagère qui contenait quelques compresse et autres choses utiles aux médecins se fracassa sur le sol après que j'ai donné un coup de pied dedans. Pourquoi il avait fallut que cela tombe sur ma petite soeur de coeur ? A croire que le sort prenait un malin plaisir à s'acharner sur elle en ce moment.

© Mzlle Alice.


Dernière édition par James M. Winchester le Jeu 24 Jan - 0:26, édité 1 fois
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Arina von Benckendorff

Arina von Benckendorff
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MessageSujet: Re: [James] Quand la vie s'acharne...   [James] Quand la vie s'acharne... Icon_minitimeMer 23 Jan - 10:48


[James] Quand la vie s'acharne... 929297AnnaSelezneva03
Quand la vie s'acharne.

C ’est une drôle de chose que l’inconscience. Ont ne peux plus bouger, plus rien faire. Le corps est comme mort. Pourtant, ont peut entendre l’agitation autour de soit, le brouhaha des urgentistes, des chirurgiens qui se pressent autour de notre corps pour nous examiner et prononcer un diagnostic. C’était le cas d’Arina alors qu’ont la transbahutait de chez elle au bloc opératoire : le bruit de la sirène lui était parvenu, l’agitation des urgences également. Et ses yeux étaient clos, son corps inerte. Oui vraiment, c’est une drôle de chose que l’inconscience : on n’est pas mort, mais pas vraiment vivant non plus, quand ont y réfléchit.

Au bloc, Arina n’entendit pas la détresse de James ni l’acclamation dégouté qu’il lançât. Par contre, le bruit de chute de l’étagère lui parvient, incertain, comme sortit du tréfonds des âges. Cela troubla d’ailleurs son espèce de sommeil et une grimace se peignit sur son visage, avant de disparaître aussi rapidement qu’elle était apparut pour laisser de nouveau la quiétude occuper ces traits délicats. C’est finalement un appareil qui eut raison de la jolie russe, pour l’anesthésie générale dont elle avait besoin pour subir les opérations qui allaient suivre.

***

Les paupières papillonnaient, se plissaient, pour échapper à l’aveuglante lumière de la petite salle de réveil. Essayant de se relever dans son lit, l’air hagard, perdu, la jeune femme se fit rabrouer par l’interne chargé de surveiller toutes les personnes présentes. Apparemment, elle devait rester couchée et ne pas chercher – pour l’instant en tout cas – à se relever, sans quoi quelques coutures pourraient bien se faire la malle, une idée qui ne tentait évidemment pas la russe aux cheveux couleur de soleil.

Un résident entra de longues minutes plus tard pour emmener le lit de la demoiselle qui devait être placée en chambre maintenant qu’elle semblait bien réveillée. Néanmoins, fatiguée par l’intervention d’urgence qu’ont venait de pratiquer sur elle, la blondinette ne tarda pas à se rendormir quelques instants plus tard, alors qu’ont venait tout juste d’installer le lit qu’elle occupait dans la chambre qui était la sienne pour quelques jours désormais.

***

S’éveillant de nouveau après de longues heures de sommeil, le regard de la demoiselle se pose sur une silhouette visiblement endormie installée dans un fauteuil tout près de son lit. La jeune femme ne tarde pas à reconnaître James Winchester, son frère de cœur. Cependant, son esprit avait hésité, le temps de rassembler souvenirs et clartés. Ce dernier était resté un peu dans le brouillard et même là qu’il se souvenait de qui était ce jeune homme, l’organe n’était pas au top de ses capacités, quoique les informations lui revenaient petit à petit.

L’homme sembla s’éveiller à son tour et la demoiselle, encore un peu dans le brouillard quand aux raisons de cette hospitalisation, de ces machines branchés à elle, lui adressa un petit sourire comme pour lui lancer un appel et en voir un se dessiner sur le visage du jeune homme qui semblait bien soucieux, ce qui ne manquait pas de faire naître une pointe d’inquiétude chez la patiente.
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