Finalement après plusieurs moi et une belle peau neuve, nous avons décidé de relancer l'aventure en espérant que vous serez la partie. Découvrez les nouveautés et amusez-vous  |
| | | "Tout fini par se savoir, un jour." _ Zéphirine Michalka |  |
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 |  Sujet: "Tout fini par se savoir, un jour." _ Zéphirine Michalka  Dim 22 Avr - 19:09 | |
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" Cacher ses faiblesses, c'est mentir à soi-même. "
Ce soir j'avais pour intention de m'amuser, de prendre du plaisir, d'oublier tous ces problèmes d'écrivain, tout ce mal qui me ronge depuis toutes ces années. Une petite virée en boite me ferais le plus grand bien, faire de nouvelle connaissance, rire, s'éclater, danser, boire, et re boire jusqu'à en être bourré à tomber par terre, sniffer de la drogue dans les toilettes jusqu'à s'en éclater les narines. Ne plus se rappeler le lendemain, ce qu'on a fait, et ce qui sait passé. Avoir mal à la tête, et se réveiller le plus tard possible, dans un lieu inconnue, à côté d'un inconnue. Ça c'était mon monde, mon univers de la nuit que j'aimais tant. Je ne pouvais plus m'en passé, c'était ma drogue, comme la coke, c'était surtout la drogue qui me poussé à faire ça.. J'en étais tellement devenu accro que j'en prenais tous les jours, minimum une fois, mon rituel du matin était de prendre ma dose, la première chose après le réveil, et ça vous donne un cou de fouet radical. Chaque soir j'avais hâte de re-vivre de grand moment, de me sentir exister, de me sentir bien, au nirvana, de ne pas réfléchir, trop penser.
Pour être au top de ma forme pour la soirée, j'avais fait une petite sieste. Pour bien me réveiller, je saisis dans mon porte feuille un billet que je roule pour prendre ma barrette de coke. C"était partit, je passais directement par la phase préparation. Je file sous la douche et fait coulé de l'eau glacé pour apaiser le feu qui commençait à brûler dans mes veines. Une fois ma douche prise je m'enroule dans une serviette et me dévisage dans le miroir. Je détestais ce que voyais dans ce miroir, je ma haïssais d'avoir perdu tout ce que j'avais de plus cher, tout ce qu'il avait tant aimé chez moi, je l'avais gâché, je me suis toujours sentit responsable de sa mort, même si je ne l'étais pas, ça me rongée de plus en plus. Je me repris en main et passé à l'habillage, ce soir la folie était permise. J'avais choisis une robe bustier noir très très courte, pour séduire ce soir, avec une veste courte à grande épaulettes de couleur or à motif noir, que je garderais ouverte. Résultat une tenue chic, sexy, et excentrique comme je les aimes. Je choisis par la suite mes chaussures, escarpins noir à talons haut, et une petite pochette noir brillante, dont j'y mettais mes papiers important, mes clefs de voiture, ma coke, je pris également un billet et un autre sachet de coke que je plaçais dans mon soutien gorge au cas où si je perdais ma pochette, me connaissant ça pourrait arriver.Je repartis dans la salle de bain pour me coiffer, j'avais décidé, de m'attacher les cheveux bien tiré en arrière pour sauver les apparences faire plus chic et plus sérieuse. Maintenant voici la phase la plus importante le maquillage, j'avais choisis un maquillage lumineux dans les tons dorée pour aller avec ma veste. Je laisse tout en vrac trop pressée et pars à l'entrée enfiler mes escarpins et prendre ma pochette, je claque la porte, la ferme et fais glisser mes clefs dans ma pochette.
Au bout d'une demi heure de trajet, me voila enfin devant la boite de nuit des plus riches; et des plus coté de Londres. Je laisse mes clefs de voiture au voiturier; et oui cette boite de nuit avait un voiturier, normal les riches détestent devoir passer des heures à trouver une place pour se garer. Je me dirige directement à l'entrée près des vigiles pour passer, je suis une de ces VIP de la boite, une grande habitué de la maison. A l'accueil je dépose ma pochette, et part directement près du bar avant de me diriger dans la foule, danser. Je pris plusieurs verres, 4-5 pour bien me mettre dans l'ambiance, vodka, rhum,.. Tous les alcools fort sont bon pour moi. Je me lançais enfin sur la piste de danse, jouant à la séduction avec des hommes que je ne connaissais pas encore. Je rencontre par la suite un groupe d'adepte de drogue, dont de coke. On créa pour nous un petit espace privilégié avec une table des banquettes entouré de rideau pour garder un peu d'intimité. On se refilait l'un après l'autre de la coke, et sniffais tous dans le même billet entre chaque prise de coke ce glissait plusieurs coupes de champagne. Alcool et drogue à profusion, c'était enfin la folie, on dansait entre nous, se séduisait l'un autre, on était tous euphorique, aussi minable l'un que l'autre, complètement défoncé, déchiré.
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| | Sujet: Re: "Tout fini par se savoir, un jour." _ Zéphirine Michalka Lun 23 Avr - 21:20 | |
|   Moira Ҩ Zéphirine « La curiosité est un vilain défaut... mais, parfois, elle s'avère utile. » Ce soir, j'étais dans ma chambre sur mon lit et j'essayais de faire mes devoirs, mais rien à faire. Tout me dérangeait. Ma belle-mère criait après l'une des femme de ménage pour montrer à ses amies sa supériorité. C'est une des choses que je ne comprends pas chez les gens, car pour se montrer fort devant leur ami(e)s, ces gens vont aller rabaisser quelqu'un de plus faible qu'eux. Je trouve cette attitude lâche et sans moral. De plus, il y avait Gaspard, mon chien Shiba Inu, qui semblait lui aussi être fatigué de l'entendre, car il jappait et quand Gaspard jappe, ce n'est pas long que ma belle-mère lui gueule dessus. J'essayais de le calmé, mais monsieur ne m'écoutait pas. J'avais vraiment besoin de respirer. Je poussai mes livres de mon lit et sortis de ma chambre pour crier. ''SILENCE ! Il y a des gens qui veulent la paix ici ! There are people who want peace here !'' Je m'étais exprimé en français en premier parce que lorsque je me fâche il n'y a que les mots en français qui me vienne en tête. J'avais tout de suite traduit, car s'il y avait bien une chose que la femme de mon père déteste le plus au monde c'est bien ce qu'elle ne comprend pas. Elle vint devant les escaliers pour me voir. Elle avait lèvres pincées et des yeux prêts à tuer. Je savais ce qui m'attendait. Mon père allait le savoir. C'est pourquoi je pris mon chien et descendis jusqu'en bas, pris ma veste et la laisse de Gaspard. Quand j'eus fermé la porte, j'entendis madame qui hurlait le nom de mon père.
Je me promenai avec Gaspard pendant une bonne heure. Je voulais laisser retomber la poussière de tout ce qui venait d'arriver. Je savais que si j'aurais été encore là, je n'aurais plus d'oreille pour entendre et il aurait en plus fallu que je l'écoute se plaindre. Aujourd'hui, le vase avait débordée. Je suis comme ça. Je vais la laisser faire et finalement exploser soit par la colère ou par les larmes, mais souvent je finissais en larme. Gaspard commença à fatiguer, je compris qu'il était temps de rentrer. Lorsque je fus rentré, une des femme de ménage me dit de rappeler une de mes amie et de ne pas faire de bruit, car madame et monsieur étaient au lit. Je lui fis un sourire et monta mon chien endormie dans mes bras. Rendue dans ma chambre, je le déposai dans son lit et pris mon cellulaire sur la table. Je rappelai, mon amie qui avait une folle envie d'aller en boîte de nuit. Elle me dit que ça me fera le plus grand bien. J'acceptai. J'ouvris ma garde-robe à la recherche d'une merveille à porter. Je pris mon chandail long et raillé noir et blanc. Je pris soin de mettre un short noir et me dirigea vers mes bijoux. J'enfillai mon collier avec des perles et des fleurs de bronze. Je plaçai un peu mes cheveux et me mis une petite touche de maquillage.
J'attrapai mon cellulaire et alla attendre devant chez moi. Mon amie arriva avec une autre de ces amie en voiture décapotable rouge. Je m'assis en arrière. Les filles semblaient sur le party et avoir du fun. Je regardai par la fenêtre tout le long du trajet. Lorsque nous fûmes arriver, je descendis et entra avec elle lorsque ce fut notre tour. Je m'amusai un peu à danser avec les filles, mais une femme attira mon regard, car il y avait quelque chose chez elle qui me faisait dire qu'elle était louche. Elle semblait caché quelque chose, mais quoi ? Oh non, Zéphirine n'y pense même pas. Ce n'est pas de tes affaires. Même si ma tête me disait non ma curiosité l'emporta. Je me retournai vers celles que j'accompagnais. ''Je reviens. D'accord ? S'il y a quoi que ce soit je vous texte et vous faites de même.'' Je commençai à suivre cette dame, mais bien entendue je la suivais tel une vrai espionne. - Spoiler:
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