Une pause bien méritée (pv)

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J'avais énormément de boulot ces derniers temps, je devais assuré la défense d'un neurochirurgien atteint de parkinson et qui , afin d'atténuer les effets de sa maladie, pigeait à même les réserves de la pharmacie de l’hôpital afin de se soigner … comme tout finit immanquablement par se savoir le pot au rose avait été découvert et non seulement mon client risquait la destitution, il allait au devant d'une longue peine d’emprisonnement et il m'incombait de le sortir de ce mauvais pas. J'épluchais plusieurs procès du même type, histoire de trouver un élément de jurisprudence militant en notre faveur mais c'était un peu comme chercher une aiguille dans une botte de foin et puis j'eus la brillante idée de plaider la démence passagère, cela fonctionnait bien pour innocenter des meurtrier alors pourquoi ne pas tenter le coup et puis dans le pire des scénarios mon client allait écoper d'une suspension assortie d'une mise à l'épreuve … c'était nettement mieux que de se retrouver au trou pour de longues années aux frais de la couronne.

Rangeant donc mes ouvrages de droits, j'allumai mon ordinateur afin de prendre connaissance de mes couriels alors que j'entendis ma secrétaire me dire qu'elle devait partir pour faire des courses, je lui répondis qu'elle pouvait prendre sa journée … de mon côté j'étais claqué et je comptais bien me reposer un moment avant de reprendre le boulot et je m'assoupis, la tête contre mon bureau. Une personne semblait vouloir se rapprocher, les bruits de claquements de talons émanant du couloir se voulaient sans le moindre équivoque et puis la porte s'ouvrit alors que je demeurais sans la moindre réaction … après tout j'étais tellement crevé.

Lentement je finis par ouvrir les yeux alors que je sentis de douces mains glisser contre mes épaules tout en sentant des sensuelles lèvres glisser contre mon cou alors qu'une voix des plus douces raisonnaient dans ma tête :''T'es mon sexy gringo à moi'' Me retournant lentement je finis par m'apercevoir que c'était elle, celle qui n'avait de cesse que de me troubler et glissant lentement ma main dans la sienne je la laissai prendre place sur mes genoux noyant mon regard dans le sien.

Ce que tu m'as manqué.

Invité

Je n'avais qu'une chose à penser en ce moment : de sauver mes fesses, de pouvoir enfin retrouver une certaine vie. J'étais devenue une coupable potentielle de trafic d'organes. Je savais bien que j'avais commis ce délit mais personne ne voyait que je voulais juste un peu d'argent et aider les personnes qui attendaient un don. Beaucoup avaient été sauvés. J'imaginais encore les listes d'attente et quand on vous disait : "mon père va mourir, il a besoin d'un rein", on devait dire : "ah, mais non, il se trouve à la place 45 sur la liste d'attente." En gros, les patients pouvaient crever la bouche ouverte que personne ne viendrait les aider au nom de la politique de l'hôpital. Les blouses blanches, enfin pour la plupart, ne comprenaient par cette position. Ils ne pensaient qu'à l'éthique, qu'au serment d'Hypocrate. Je me préparais en vue de ma rencontre avec un avocat des plus séduisants. J'avais bien envie d'un quatre heures. Comment était-ce possible d'avoir des avocats aussi irrésistibles au sein même de cette ville ? Et bien, j'aurais ma réponse dans peu de temps. Ma tenue était des plus sexy. Pour arriver à mes fins, il le fallait finalement.

Je sortais discrètement histoire d'éviter de me faire remarquer soit par des journalistes trop curieux, soit par des personnes qui pourraient bien ne pas cautionner mon attitude. Après tout, j'étais bel et bien une rebelle et j'avais le droit de le revendiquer haut et fort. J'arrivais donc directement au bureau de Julian après quelques minutes de route en voiture. Je frappais à la porte mais il n'y avait personne, enfin en apparence. Je décidais d'entrer. La secrétaire n'était pas là, mais en voilà une très bonne nouvelle. Je n'avais juste qu'à aller vers le bureau de Julian et c'était ce que je faisais. J'ouvrais la porte. Je voyais qu'il était en train de faire une sieste. Le travail devait être fatiguant. J'allais m'occuper de lui, comme il se doit. Même en marchant, je n'arrivais pas à le réveiller. J'allais lui montrer à ma façon ma présence. Je glissais mes mains sur ses épaules, en le massant légèrement, et je l'embrassais ensuite dans le creux de son cou. Je me rapprochais de son oreille, lui murmurant bien sûr qu'il était mon sexy gringo. Je savais bien que cela ne pouvait que faire réagir et en plus, cela me rappelait le soleil de Miami. Là-bas, ils ne m'auraient rien dit par rapport à mon délit, ils m'auraient applaudi au contraire. Je me cherchais toujours des excuses mais je devais prouver à tout le monde que j'avais raison et que j'aurais toujours raison peu importe ce qui se passera par la suite. Il se réveillait. Ce que j'avais fait ne pouvait que marcher finalement. Je sentais sa main lentement dans la mienne. Il ne fallait pas me le dire deux fois car cela s'appelait une belle invitation à venir auprès de lui. J'affichais un sourire des plus coquins avant de prendre place sur ses genoux, le regardant, restant très proche de lui. Il réussissait toujours à me faire craquer. Je devais être des plus convaincantes avec lui, ce qui voulait dire sortir le grand jeu. Il me disait que je lui avais manqué mais là, cela serait plus facile que prévu.

- Mon petit coeur, toujours aussi sexy à ce que je vois. Tu me fais craquer. Tu m'as tellement manqué. C'est d'ailleurs pour cela que je me suis empressé de venir te voir, je ne supportais plus d'être si loin de toi. J'aimerais tant en profiter davantage et sortir de cette galère.

C'était vrai, il y avait un manque. Le fait de ne pas l'avoir près de moi, avait provoqué un grand vide. Je faisais tout simplement une moue dont j'avais le secret et pour laquelle, on ne me résistait pas. Je le regardais d'une manière plutôt coquine avant de jouer avec ses lèvres, de le tenter. Je me mordillais les lèvres légèrement avant de finalement succomber à cette douce tentation. Je l'embrassais passionnément, me rapprochant tout contre lui, afin de lui caresser intensément le torse.

Invité

Je dois avouer que le simple fait de me retrouver en présence d'Amélia contribue à me troubler, il m'est impossible de ne pas songer à cette fameuse soirée alors qu'elle m'avait attiré dans son bureau , prétextant vouloir parler de ma mère, alors qu'en réalité elle avait un tout autre projet en tête. Le simple fait de me plonger dans ces souvenirs des plus torride ne peut que me faire frissonner à nouveau, jamais une femme ne m'avait fait un tel numéro et je dois admettre que la belle brune m'avait fait un effet d'enfer alors que je m'étais mis à frissonner au contact de ses caresses et à m'enflammer en savourant ce langoureux baiser qu'elle m'avait offert … cette nuit avec elle avait été des plus mémorable. Finalement tel le dernier des bleus je m'étais laissé séduire par la belle alors que tout ce qu'elle semblait désirer était de se servir de moi et de ma détresse afin de se sortir de l'impasse dans laquelle elle se trouvait et naturellement je n'y voyais que du feu.

J'étais plongé dans mon travail et puis soudain je vis la belle brune entrer dans mon bureau, il faut dire que je la désirais tellement que je ne lui tenait aucunement rigueur pour ses interruptions. Je finis par lui dire qu'elle m'avait manqué avant de glisser ma main contre la sienne et je plongeai mon regard dans le sien, admirant son sourire des plus coquins, alors qu'elle vint prendre place sur mes genoux.

Tu me rends fou tout simplement. J'aimerais tant pouvoir t'aider à ce que tout ce qui te trouble soit finalement derrière toi , j'ai tellement envie de pouvoir t'aider à t'offrir un nouveau départ … tu le mérites plus que quiconque.

Plusieurs de mes amis me disaient que je faisais une erreur monumentale en m'attachant à cette femme, ils me disaient qu'elle n'était pas pour moi, qu'elle était une bien mauvaise fille et qu'elle se servait de moi afin de se faire innocenter mais je préférais ne pas les écouter, je dois avouer que la belle m'avait ensorceler et qu'il m'était impossible de briser l'enchantement qu'elle exerçait sur moi. Plongeant mon regard dans le sien, lui caressant le visage, je finis par venir glisser mes lèvres dans le creux de son cou, lui mordiller le lobe de l'oreille afin de lui susurrer combien elle me rendait fou et à quel point je me sentais perdu sans elle.

Invité

Je me devais d'avoir une influence sur mon avocat, sur mon gringo d'avocat. Je voyais bien sûr le grand objectif qui était ma liberté. Je voulais qu'enfin je puisse être considérée comme innocente, mais pour cela, mon avocat devait plaider comme je le souhaitais. La première fois, je me souvenais que je l'avais attiré avec le soucis de sa mère. Aujourd'hui, je devais jouer de mes charmes et il n'était pas des plus insensibles rien que par ma venue. J'entendais ses quelques mots qui me permettait d'être simplement heureuse. Je sentais sa main contre la mienne. Je frissonnais, désirant encore plus me retrouver près de lui. Je ne pouvais m'empêcher de le regarder. Il était si irrésistible. Je ne pouvais me détacher de ses yeux. Il était si charmeur. Beaucoup de femmes pouvaient s'intéresser à lui, mais je comptais bien le garder pour moi.

J'étais près de lui, enfin sur ses genoux. Je le regardais en ayant un sourire des plus coquins. Je me mordillais les lèvres alors que je n'avais que d'une seule chose : de l'embrasser et de ne l'avoir rien que pour moi. Je le rendais donc fou. Au moins, c'était une bonne chose et je ne perdais pas du tout de mon charme si irrésistible. Ce qui allait suivre allait me le prouver. Ainsi, il aimerait tant pouvoir m'aider à ce que tout ce qui me troublait soit finalement derrière moi. Oh Oui, je rêvais d'éviter la case prison et donc au revoir au monde magique de l'argent coulant à flots. Oh, je pourrais divaguer en disant "money, money, money", mais c'était exactement ça. Il avait donc tellement envie de m'aider à m'offrir un nouveau départ, car je le méritais plus que n'importe qui. Je devais me sortir de ce pétrin d'enfer et il avait les capacités de me sortir de là. Je pourrais faire à tout le monde que je restais intouchable et toute puissante. Il me regardait. Il était si irrésistible que je le regardais à mon tour, affichant un sourire des plus coquins. Je sentais cette caresse sur mon visage. Je frissonnais, je le désirais tellement, et c'était de plus en plus difficile de résister à la tentation. Je sentais ses lèvres contre mon cou, je ne pouvais pas résister, tellement que c'était un délice. Il me mordillait le lobe de l'oreille. Il me murmurait à quel point je le rendais fou et qu'il se sentait perdu sans moi. Je le regardais avec envie, me mordillant les lèvres avant de le tenter en jouant avec les siennes. Je l'embrassais passionnément alors que je me tournais pour me retrouver sur le bureau. Je mettais tout à terre, même si c'était important.

- Tu es celui qui ne peut que m'aider à prouver que je mérite d'être libre. Tu m'aides déjà énormément. Sans toi, je n'aurais pas été aussi forte à affronter toutes ses épreuves et qui sait, j'aurais peut-être abandonné face à ce système des plus compliqués. Rien qu'en étant près de toi, j'oublie l'extérieur, mes problèmes, même s'ils sont énormes. J'aimerais tant un nouveau départ et tu serais même celui qui pourrait m'y faire accéder. Tu es mon protecteur et crois-moi, je n'envisagerais pas ce nouveau départ sans toi. Je meurs de désir pour toi mon chou.

Je baissais tout doucement mon haut afin de le tenter et par ma main droite, je l'emmenais à venir vers moi. Je l'embrassais fougueusement, tout en me baissant sous l'effet de notre baiser, me retrouvant sur le bureau. Cela ne pouvait que présager le meilleur. Je décalais mes baisers vers le creux de son cou, alors que je laissais mes mains aller sous sa chemise, le caressant intensément avant de la lui arracher. Je le regardais d'une manière réellement des plus coquines. J'obtenais tout ce que je désirais, même si pour cela, je devais pousser le bouchon bien loin.

Invité

Cette forte influence que la belle Amelia exerçait sur moi avait finit par laisser toute la place à une attirance des plus folle, j'éprouvais un profond désir pour cette femme et j'en étais venu à accepter de me compromettre afin de tout mettre en œuvre dans le seul et unique but de la voir se faire disculper des lourdes charges pesant contre elle. Bien évidemment la belle blonde avait finit par me devenir indispensable et lentement je glissai sur un terrain des plus compromettant, empruntant ainsi une voie qui ne pouvait que me mettre dans une situation des plus intenable puisque j'en venais à éprouver de forts sentiments pour celle que je devais défendre … un tel comportement pouvait me faire radier de l'ordre du barreau mais je l'avais tellement dans la peau que ce genre de détail ne pouvait que me paraître des plus futiles.

J'étais heureux de la retrouver, bien que je connaissais parfaitement le risque que nous prenions, il m'était impossible de lui résister et je dois avouer que je n'avais pu que craquer pour sa manœuvre alors qu'elle entreprit de me titiller les lèvres tout en laissant ses mains glisser contre mon torse, alors qu'elle venait de prendre place sur mes genoux. Me laissant complétement aller je me mis à l'embrasser passionnément tout en laissant mes mains se balader contre son corps des plus magnifique et je me mis à frissonner lorsqu'elle m'embrassa dans le creux de mon cou , tout en prenant place sur mon bureau balayant tout ce qui pouvait la gêner, avant de s'adresser à moi de cette douce voix qui ne pouvait que m'envouter.

Tu me rends fou ma belle, je ne sais pas pourquoi mais tu possèdes un fort ascendant sur moi que je ne parviens pas à m'expliquer … il m'est impossible de te résister. Tu vois j'ai longtemps cru que plus personne ne s'intéresserait à moi et voilà que tu fais de moi l'homme le plus heureux de cette ville. Je tiens tellement à toi ma chérie je ne peux que désirer te protéger et je me fous de ce que les gens diront tu es celles que je veux.

Évidemment je ne pouvais qu'admirer cette poitrine qu'elle venait de me dévoiler et je me laissai guider afin de me retrouver près d'elle sur le bureau alors que je prolongeai notre baiser avec passion, me décalant quelque peu afin de lui mordiller le lobe de l'oreille pour ensuite la laisser m'arracher ma chemise et nous adonner à une activité des plus coquines.

Invité

Chaque liberté avait un coût, un prix à payer et j'avais déjà trouvé : un bel homme, un bel avocat. Je devais utiliser tous mes atouts nécessaires, même si de plus en plus, je désirais cet homme. Rien que d'être près de lui, me procurait un bonheur sans précédent. Je mentais bien sûr par rapport à mon innocence mais il y avait toute sorte d'innocence. J'avais trouvé un point faible et je l'exploitais. Je commençais à m'attacher à lui. Je voyais l'ascendant que je possédais et cela me rendait heureuse. Je le titillais du bout des lèvres. Je sentais qu'il craquait et ça, j'avais gagné. J'avais réussi à bien mener le jeu et j'allais continuer sur cette lancée.

Il savait me faire vibrer comme personne ne pouvant que me suivre dans mes tentatives. J'avais tellement bien fait d'être sur ses genoux et je continuais de m'occuper de ce beau torse des plus sexy. Il m'avait embrassé. C'était un baiser des plus passionnels. Je sentais ses douces caresses contre mon corps. Je frissonnais de désir. Je réussissais finalement à l'avoir tout à moi et quoi de mieux qu'un petit baptême. Je savais bien ce que l'on allait me dire : que j'étais sans gêne, mauvaise fille, mais peu importe finalement car quand on aime jouer, on ne compte pas. Cette devise commençait peu à peu à s'estomper. Le fait de me faire avoir par le destin n'était pas dans mes habitudes mais qui sait. J'étais prête à finalement passer un moment des plus intenses. Je le rendais fou. J'aimais ça. Il ne savait donc pas pourquoi mais je possédais selon lui un fort ascendant qu'il ne parvenait pas à s'expliquer. Il ne valait mieux pas essayer de savoir. Il ne pouvait donc pas me résister. J'avais réellement gagné. Je ne m'attendais pas à ce qui se passait pour la suite. En effet, il se confiait à moi. Donc, il avait longtemps cru que plus personne ne s'intéresserait à lui et donc, je faisais de lui l'homme le plus heureux de cette ville. J'avais finalement la plus belle des déclarations. Il tenait tellement à moi qu'il ne pouvait que désirer me protéger. La principale peur que j'avais c'était quand même qu'il écoutait les paroles des autres, mais là, j'étais complètement rassurée. J'avais un homme, un vrai. Les gens ? Il se foutait de leurs opinions. Il me voulait et je le voulais aussi.

Je devais passer aux choses sérieuses. J'avais des atouts et cela méritait d'être vue. Ma poitrine était mise en valeur. Nous étions sur le bureau. il prolongeait mon baiser passionnément. Je sentais qu'il mordillait le lobe de mon oreille. Chemise arrachée, j'enlevais lentement sa ceinture puis son pantalon, insistant bien sur ce que je voulais. Je le caressais de tout son corps, alors que finalement, une chose en entraîne une autre, nous passions à l'acte. J'avais par moment prononcé son nom, mais c'était juste que j'étais comblée. Il n'y avait personne donc on était des plus tranquilles. Je me blottissais tout contre lui, alors que je laissais ma main se balader lentement sur son torse alors que je le regardais heureuse.

- Je me sens attirer par toi depuis le début comme toi de moi. D'un évènement, enfin de ce qui m'arrive, on a pu se rencontrer et on arrive à ceci aujourd'hui. Si personne ne s'intéressait à toi jusqu'ici, moi si. Depuis le début, je n'ai pas pu te résister. Je te désire tellement. L'important pour moi est de te combler et si je réussis, tu fais de moi la femme la plus heureuse. Je le suis déjà quand je me retrouve près de toi. Je n'ai rêvé que d'un homme qui sache enfin me protéger et je l'ai trouvé. Je suis rassurée de savoir que tu te fous de l'opinion des autres. Je te veux, embrasse-moi.

Je ne pouvais que l'embrasser tout le long de son torse, insistant lentement. Je succombais à ce regard, à ce corps des plus irrésistibles lui souriant d'un air des plus coquins. Je l'embrassais fougueusement. Finalement, à force, le jeu auquel je jouais allait se retourner contre moi.

» On a bien besoin d'une pause !
» Une pause c'est cool, avec toi c'est le paradis *Jeremiahde*
» Comment ça c'est qui ? C'est moi bien sûr !~
» Une soirée bien arrosée[Pv'Moira]
» Ma petite vie bien remplie ♣ Russian Princess

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