~ H. Rebecca Avery ~

~You know my name, not my story ~

I am who I am • Age : 24 ans • Date & Lieu de Naissance : 16 mai 1988 , New York • Spécialité : Pédiatrie • Année : 1ère année d’internat, 5ème année dans la médecine • Groupe : Esclaves • Situation : Célibataire but… • Sexualité : ♂ ♂

And also a Player • Age : 16 • Surnom : Sunshine • Fréquence de connexion : minimum 4 fois semaine • Comment ? : Sur google en cherchant un gif ^^’’ • Célébrité : Amber Beautiful Heard • Code : Sam-hottissime-uel est dans la place XD :elias: • Autre ? : Je m’y plais bien ici ! (c) icon de Queen G. // (c) Fiche Saku

And this is who I am

What's going on in your mind ?

Rebecca est à première vue, une fille difficile d’approche. Si c’est pour de bonnes causes, elle sera très agréable. Elle reflète une image d’une femme rebelle mais intelligente , cependant elle ne démontre en aucun point son passé tumultueux mis appart son fort caractère. Elle est possessive et donc souvent jalouse avec les gens qu’elle aime, elle peut donc devenir agressive ce qui ne lui est pas toujours d’une bonne aide. Elle n’aime pas facilement, elle préfère le sexe à l’amour mais lorsqu’elle s’est attachée à quelqu’un, ça devient quasi-impossible de l’arrêtée. Elle est très sélective autant pour ses amis que ses conquêtes, si elle en a, bien sûr. Cependant elle a beaucoup de misère à se détacher et à passer à autre chose, elle doit se faire pousser pour y arrivée. Sinon elle n’est pas perfectionniste, mis à part dans ses travails. Que ce soit de le photographie auparavant, ou de la médecine aujourd’hui, lorsqu’elle fait quelque chose elle veut le faire bien, elle désirerait quand même que ce soit le cas dans ses relations. Elle n’est pas sensible, ses expériences passées l’ont renforcie et elle n’est pas susceptible non plus, mis appart si ça devient carrément une insulte, elle sait très bien comment se défendre.

What happened to you ?

Dans une galère quelqu’une, comme toujours quoi. J’avais l’habitude que mes parents, trop riches et avares, ne se préoccupe de moi que lorsque je devenais une menace à leur réputation publique. Je suis née à New York, vous savez The Big Apple. Ma mère, Rose Halloway Avery, était et a toujours été une femme amoureuse de l’argent, d’ailleurs la raison dont elle a épousé Peter Avery, mon père qui était un riche propriétaire de grand building New Yorkais grâce à sa contribution de la mafia américaine. Je fis élever considérée comme une jeune fillette innocente et charmante, avec un avenir le moins honteux qui soit pour ma mère, qui m’a quasi-élever par des nounous, mon père étant toujours à l’extérieur de pays et elle qui n’avait pas le temps pour un enfant. Leurs manigances et leurs travail qui leur montaient à la tête me filait la nausée, il y a depuis le début de mon adolescence que j’ai quitté ce monde, ou plutôt cette bulle de richesse et beauté dans laquelle ils étaient constamment renfermée, ça me rendait malade de voir à quel point ils pouvaient se priver de liberté. J’étais donc là, ce soir de Mai avant mon anniversaire, j’avais 17 ans. Deux sacs remplis de mes effets personnels traînaient sur le seuil de la porte, il y avait un moment que j’avais pensée partir, mais là c’était le bon moment. Je n’en pouvais tout simplement plus, de ma mère, de ses peurs de faire des scandales, de ses insultes sans queue ni tête vis-à-vis ma manière de vivre, à ses sarcasmes immondes jusqu’à ses cachoteries à mon père qui n’est franchement pas mieux qu’elle. Je les détestais, tout simplement, ils étaient trop différent de moi et de ma perception du monde. Bien sûr, des gens ici allaient me manquer, ma meilleure amie tout comme mes aventures, mais ils allaient finir par comprendre un jour, du moins j’espérais. J’avais pris la décision il y a deux ans de m’émanciper légalement d’eux, lorsque ma demande fut acceptée et que le contrat fut signé avec la satisfaction de ma mère, ça me fit un bien fou de savoir que je pouvais faire ce que je désirais sans avoir l’avis égocentrique de ma mère. Un de mes amis, qu’ils n’approuveraient guère encore une fois, vint me chercher.

À mon départ je demandai une grande somme d’argent de mes parents, ce fut la moindre des choses. Je déguerpis le plus vite possible, allant un peu partout dans le monde. J’atterris quelques années plus tard au Brésil, j’avais envie de nouveau et d’un vent de chaleur, je pris une bonne partie de l’argent en question pour m’acheter un petit bateau dans lequel je vécu durant un bon moment, le temps de peut-être me trouver un emploi. Mais ce devint plus compliquer encore, je fis des connaissances mais étant ce que je suis, pas les bonnes encore. Il est vrai que la blonde au regard perçant, portant quelques tatouages l’air dépravée attirait les mauvaises fréquentations, du moins c’est ce que j’en ai déduis. Ce fut un soir, où je me promenais tout bonnement dans les quartiers de Rio, où je rencontrai une dizaine d’armoire à glace munit d’armes dont je ne voulais pas savoir l’origine. Avez-vous déjà entendu parler de ses mauvais types à Rio de Janeiro, ceux qui font partis de la mafia latino et qui connaissent bien vos origines? Et bien eux, me connaissaient très bien, plus que je pu l’imaginer. Mauvaise chance pour moi il détestait mon paternel, donc je dus leurs obéir. Ils me donnèrent un ultimatum, ils m’entraîneraient à donner des soins à leurs confrères qui se prenait des balles où des poignards, et en échange je garderais la vie. Les premiers temps fut difficiles, mais ses gars-là devaient posséder une somme énorme d’argent puisque je fus entraîner par des chirurgiens qui étaient allé sur le champ de bataille, on soignait ce qu’on pouvait avec ce qu’on avait, c’était un peu ça. Ils me firent jouer au médecin pendant 2 ans, chaque jour était un enfer et du sang de meurtriers sur mes mains. J’étais obliger, car c’est le temps qu’il fut pour entrer en contact et élaborer un plan avec les autorités pour me sortir du pays, ce que j’ai réussi en prenant une balle dans le bas du dos.

Ce fut terriblement pénible mais aucun de mes organes furent gravement endommagés, la balle avait traversé de l’autre côté mais la chirurgie fut exécutée à merveille donc ce fut qu’une cicatrice douloureuse qui me gêna pendant un moment, j’eu une chance extraordinaire. Je fis accueilli par Seattle, belle ville beaucoup plus paisible au climat plus convenable. Mon petit bateau ne me manquait pas du tout, comparer au beau loft qui me fit offert par les assurances, je soupçonnais ma mère d’avoir peut-être versé un certain montant, j’espérais seulement que ce n’était pas le cas. Je détestais dépendre de quelqu’un financièrement, où pour ses choses-là. J’avais envie de recommencer à neuf, d’avoir une vie normale. Avec autant d’argent je décidai de reprendre des études, j’aimais bien la photographie, c’était l’une des options les plus faciles. J’y rencontrai James, l’un des seuls hommes dont je tombai réellement amoureuse. Il savait vaguement mon passé à Rio, ce qui n’était pas si important. Ma vie repris son cours, je goûtais de plus en plus à ce que j’eu toujours envie. Quelques années plus tard, je me rendis compte que j’étais enceinte. J’avais toujours craint cette idée, mais au fond ce n’était pas si mal, James me fit réaliser que l’on pouvait bien le faire, que l’on pouvait être heureux.

Tout peut bien avoir l’air si beau, mais tout ce détruit un jour ou l’autre. James et moi étions en route pour une échographie, et nous avions eu un accident. James perdit le contrôle du véhicule et il se heurta à un arbre de mon côté. J’eu que de mineures blessures, seulement je perdis le bébé. Ce fut l’un des pires moments de toute ma vie, j’étais détruite. J’éprouvais une haine sans merci envers le destin qui eut choisi d’enlever la vie de mon enfant, mais malheureusement cette haine ce retourna contre James. Je me mis à le haïr, pas réellement lui mais plutôt la situation. J’avais mal réagis, il ne méritait pas ça. Notre relation finit sur une violente dispute dont je m’étais jamais remis. Je partis de Seattle peu après, j’abandonnai la photographie. Seattle me grugeait petit à petit, tout ce qui m’entourais me rappelais James, je l’aimais et je l’aimerai probablement toujours, mais je devais tout de même mettre ma vie sur les rails, et peut être finalement passé à autre chose.

Je me rendis à Londres, je changeai de continent. Peut-être que ma vie ne serait pas aussi bordélique finalement! Suite à ma vie aussi sans dessus-dessous, je décidai de prendre le domaine dont j’excellais le plus excepter la photographie : la médecine. J’y donnai tout ce que j’avais, car je savais très bien que je pouvais réussir. Après quelques années d’études je choisis la pédiatrie, puisque je me dis que l’on n’avait pas pu sauver mon enfant, je voulais être capable de sauver celui des autres.

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