Finalement après plusieurs moi et une belle peau neuve, nous avons décidé de relancer l'aventure en espérant que vous serez la partie. Découvrez les nouveautés et amusez-vous |
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| SuperGuimauve à la rescousse! [James] | |
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| Sujet: SuperGuimauve à la rescousse! [James] Mar 27 Nov - 20:28 | |
| Set fire to the rain. M'étirant longuement après le footing d'une bonne heure que j'avais fait, je m'arrêtais finalement pour acheter un double latté, et rentrais à pied jusqu'au loft où je vivais avec Hayden. Profitant de l'absence de mon colocataire, je commençais à me déshabiller tout en gagnant l'étage où se trouvait notre salle de bain. Une longue douche plus tard, je m'habillais rapidement avant de faire le ménage de l'appartement à fond. J'attendais toujours en général que mon collègue de pompier quitte le lieu où nous vivions tous les deux pour le nettoyer, préférant qu'il n'ai pas l'image de moi d'une Cendrillon qui faisait la vaisselle, passait l'aspirateur et lavait les carreaux. Ce qui était le plus drôle dans cette histoire, outre le fait qu'il était assez improbable de me voir faire le ménage, était que contrairement à beaucoup de personnes, je prenais un certain plaisir à le faire. Carrément bizarre. Enfin, une heure plus tard, lorsque l'appartement respirait la fraîcheur et que tout brillait, je m'écroulais dans le canapé, allumant la station Ipod par habitude, avant d'allumer une cigarette. Si j'adorais mon boulot, et que je prenais chaque jour un grand plaisir à revêtir ma combinaison et à foncer, sirènes hurlantes, aider les gens qui en avaient besoin, éteindre des incendies, je ne niais pas apprécier les rares jours de repos qui nous étaient accordés. Pourtant aujourd'hui, sans mon colocataire et meilleur ami dans le coin, je ne savais pas quoi faire, et je m'ennuyais fermement. Me mettant à l'envers sur le canapé, pieds en l'air contre le mur, mes cheveux humides frôlant le sol, j'augmentais le son de la musique, bougeant en rythme, sourire aux lèvres. Finalement, ne rien faire du tout était plutôt agréable. Agréable...mais rapidement ennuyant. Je ne pouvais pas rester sans rien faire bien longtemps, ressentant toujours le besoin de bouger, de m'activer, de faire quelque chose d'utile, tout simplement. Si bien que je remontais vite dans ma chambre, m'habillais d'un slim noir, d'une tunique grise en laine avec des clous brillants sur les épaules, puis des bottes noires et enfilais pour terminer une veste en cuir plutôt simple. Sans m’embarrasser d'un sac, je glissais dans ma poche portable, carte bancaire et cigarettes, puis quittais le loft d'un pas décidé. A un mois de Noël, il fallait vraiment que je commence à réfléchir à ce que j'allais acheter aux gens qui m'entouraient. Non pas que j'allais lâcher dans les cadeaux un mois de salaire, mais j'aimais prendre du temps pour chercher le cadeau parfait, celui qui collerait à la personne à laquelle j'allais l'offrir. Et la grande solitaire que j'étais préférais faire cela seule, évidemment. Je m'étais donc rendue rapidement dans le centre ville de Londres, faisant mentalement la liste des quelques cadeaux que je devais acheter. Entrant dans une petite boutique peu fréquentée où on pouvait trouver beaucoup d'objets vintages, je me penchais pour prendre une vieille montre encore en parfait état, lorsque la vitrine située à quelques mètres, vola en éclats, dans un bruit épouvantable. Agenouillée suite à la surprise du choc, je me redressais rapidement et me tournais vers la vitrine, où se trouvait désormais une voiture, donc le capot défoncé fumait allègrement. Laissant mon métier reprendre le dessus, je courais jusqu'à la voiture, écartant sans ménagement les gens curieux qui s'approchaient déjà de la voiture. « -Écartez vous ! Je suis pompier. Vous, appelez les secours ! » dis je autoritaire, en poussant un homme qui ouvrait déjà la portière côté passager. Fronçant les sourcils, je retroussais le nez en sentant une odeur familière qui n'augurait rien de bon. Me penchant sous la voiture, je vis un liquide goûter sur le sol. De l'essence, pile ce qu'il manquait pour rendre les choses un peu plus excitantes. « -Sortez du magasin, et allez sur le trottoir d'en face, dépêchez vous ! Non, allez y !» continuais je, montrant le trottoir à la gérante qui voulait aider, tout en ouvrant finalement la portière côté conducteur. Posant les doigts dans le cou de l'homme d'une trentaine d'années au visage ensanglanté, je cherchais son pouls, qui bien qu'il était faible, battait toujours, tout en regardant l'intérieur de la voiture. Passant les mains sur son corps, j'essayais de le dégager doucement, mais sentis une résistance. Passant la main le long de ses jambes, je rencontrais vite un obstacle, et ressortais mes doigts imbibés de sang. Sa jambe, sûrement cassée, était coincée sous le tableau de bord qui s'était enfoncé lors du choc, et seule, je ne pouvais rien faire pour le sortir de là. En attendant de pouvoir le sortir de là, il n'y avait qu'une seule chose à faire, espérer que les secours arrivent très vite avant que la voiture n'explose, détruisant la boutique, mais aussi le conducteur et moi, par la même occasion.
Dernière édition par Spencer J. Rosewood le Mer 28 Nov - 21:31, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: SuperGuimauve à la rescousse! [James] Mer 28 Nov - 0:48 | |
| Set fire to the rain. Spencer J. Rosewood et James M. Winchester Les journées off, ces journées que les médecins chérissent, car avoir une journée de repos lorsqu'on travail dans un hôpital, cela relève de l'exception. Et c'était mon cas aujourd'hui j'avais une journée de repos, une putain de journée de repos depuis des lustres et je ne vous explique même pas le bien que ça fait de ce dire qu'aujourd'hui, on entendra pas le bipper sonner, on ne croisera pas des infirmières en panique. Bref, le pied. Pour commencer la journée j'avais tenter de faire une grasse matinée, mais finalement je m'étais quand même levé à neuf heure et demie, enfin c'est toujours mieux que cinq heures me direz vous. Musique à fond, j'avais entrepris de faire le ménage, et l'appartement en avait vraiment besoin. La vaisselle s'entassait dans l'évier, le linge propre était en boule dans un coin et n'attendait qu'une chose, être plié. La poussière avait élu domicile sur les meubles et ma chambre.. n'en parlons même pas.. Un véritable appartement de célibataire en somme. Il faut dire que je travaillais énormément à l'hôpital, et que quand je rentrais, après avoir enchainer jusqu'à parfois soixante douze heures de garde, faire le ménage n'était pas vraiment dans mes priorités du moment. Surtout que Phil, mon colocataire, avait déserté, il était parti comme ça, sans vraiment prévenir, et je m'étais retrouver seul dans un grand loft avec trois chambres et une tonne de ménage à faire. Deux bonnes heures plus tard, le ménage était fini et l'apparement était propre comme un sous neuf. La musique tournait toujours à fond, mes voisins devaient commencer à perdre patience, mais tant pis.. Pour une fois que j'avais une journée off, je me devais d'en profiter, car la prochaine ne serait pas pour tout de suite, j'étais même pas sûr d'en avoir une à Noël. Après l'effort, le réconfort, et le réconfort j'allais le trouver sous la douche. Une bonne douche chaude, brûlante même. L'eau détendais mes muscles petit à petit, je n'avais jamais autant apprécier une douche, allez savoir pourquoi. Quarante cinq minutes plus tard, je ressortais de la douche dans le plus simple appareil, étant désormais tout seul, je pouvais me balader nu si l'envie m'en prenait et là c'était le cas. J'observais ma tête dans le miroir qui me renvoyait l'image de quelqu'un qui était cruellement en manque de sommeil, pourtant ce n'était pas faute d'avoir essayer de dormir plus longtemps, sans toutefois vraiment y arriver. Après m'être observé quelques minutes minutes, j'enfila mes vêtements. Un jean, un t-shirt et des basket montantes, une tenue simple et décontracté. Une barbe de trois jours recouvrait le bas de mon visage ce qui me donnait un petit air négligé mais pas trop. De toute façon, ma journée s'annonçait bien calme et peut être même que j'allais rester chez moi, alors pas besoin d'être tout pimpant. J'étais prêt, il ne me restais plus qu'à enfiler ma veste, prendre mon télèphone et mes clefs et sortir. Pour aller ou ? Je n'en savais strictement rien, mais tant qu'à avoir une journée tranquille, autant en profiter au maximum et sortir. Surtout qu'en plus le temps restait à peut prés correct, surtout pour une fin novembre. J'arpentais tranquillement les rues, cherchant désespérément quelque chose à faire. Il fallait que je trouve une occupation, ou que je croise quelqu'un avec qui discuter ou aller boire un café. Mais évidemment ce ne fut pas le cas. J'aurais pu appeler Arina pour lui dire de passer la journée avec moi, mais la blondinette n'était pas libre, elle était à l'hôpital, entrain d'étudier des morts. Je n'ai jamais vraiment compris quel plaisir on pouvait prendre à faire une telle chose, mais bref, le sujet n'était pas là. Tout en marchant, j'observais les vitrines de de Noël, il fallait vraiment que pense à acheter des cadeaux pour mes amis et pour ma famille. Bien qu'acheter les cadeaux ce n'était pas vraiment mon truc, pour la simple et bonne raison que je ne sais jamais quoi prendre, je met toujours deux heures à choisir un cadeau pour telle ou telle personne et finalement je ne suis jamais satisfait de mon choix même si au final, la personne me dit que son cadeaux lui plait. Un bruit de verre me fit sursauter alors que j'étais concentré sur une vitrine. Je me retournais pour voir d'ou ce vacarme provenait. Au loin, je pouvais apercevoir une voiture, qui venait d'entrer en collision avec une voiture. Le conducteur avait certainement perdu le contrôle de son véhicule. Sans trop me poser de question, j'avançais vers les lieu de l'accident.
La vitrine était vraiment bien explosée, la voiture aussi d'ailleurs. J'entrais à l'intérieur de la boutique, pour m'assurer que personne n'était blessé, mais visiblement de ce côté là, tout allait bien. Du côté de la voiture en revanche, la situation était un peu plus grave. J'approchais, une jeune femme était déjà là et visiblement elle savait ce qu'elle faisait. Je ne l'avais pas reconnu sur l'instant, mais il s'agissait de Spencer, une femme pompier. Je n'avais jamais vraiment eu l'occasion de lui adresser la parole, mais je l'avais croisée lors de l'incendie du manoir à Halloween, bref ! Par réflexe, je pris le pouls de l'homme pour voir si il respirait ou non, bien sûr la brunette avait déjà sûrement dû le faire. Une désagréable odeur d'essence émanait du véhicule. Super.. Je regardais la jeune femme, réfléchissant un instant avant de prendre la parole. « Ok.. Il respire, faiblement mais il respire.. Et visiblement, il est coincé.. Et vu l'odeur, je serais plutôt d'avis à ce qu'on se débrouille pour le sortir de là, parce que les secours vont mettre du temps à arriver comme d'hab.. Et si on les attends, c'est pas sûr qu'on soit encore vivants quand ils arriveront. Et si la voiture n'explose pas, il mourra sûrement, il doit avoir de nombreuses blessures internes.. » Je tournais la tête à droite puis à gauche avant de reporter mon regard sur la victime. Réfléchi James, trouves une solution avant que cette fichu caisse explose. - Spoiler:
Pardon pour ce post tout pourri :james: Je me rattraperais, promis
Dernière édition par James M. Winchester le Mer 28 Nov - 21:56, édité 1 fois
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| Sujet: Re: SuperGuimauve à la rescousse! [James] Mer 28 Nov - 21:34 | |
| Set fire to the rain. Des gémissements s’échappaient par moment des lèvres entrouvertes du conducteur, qui semblait reprendre partiellement conscience. Posant une main sur son torse, je l’intimais au calme, sachant ce qu’il se passerait si jamais il cherchait à se débattre. Me rendant vers l’un des portants dans la boutique, je m’approchais d’un rayon contenant des vêtements divers, puis prenant un tee shirt large qui pendait encore sur un cintre, je l’arrachais sans douceur, puis retournais auprès du jeune homme, et palpant sa jambe, je posais le vêtement là où mes doigts devinrent poisseux, où il devait surement avoir une blessure. Appuyant fortement à deux mains, malgré les gémissements de plus en plus distincts de l’homme, je sursautais légèrement lorsqu’en me tournant mon visage tomba à une dizaine de centimètres d’un nouveau venu, qui posait ses mains sur le corps du chauffeur, répétant les gestes que j’avais fait quelques instants plus tôt. Serrant la mâchoire, je me retenais de ne pas l’envoyer sur les roses avec la délicatesse made in Rosewood, et ouvrais la bouche, prête à dégainer ma gâchette verbale, lorsque je reconnus celui qui s’imposait comme ça, avec son savoir faire. Prenant une courte respiration, je reportais mon attention sur la victime, alors qu’elle essayait de se débattre plus fortement : « -Merci de nous avoir éclairé sur la situation Guimauve. De là où j’étais, j’avais l’impression qu’il pétait la forme, qu’il allait se dégager tout seul et quitter la boutique en souriant ! » dis je avec ironie, tout en me penchant sur l’homme pour défaire sa ceinture de sécurité. Adressant au jeune médecin un faux sourire dédaigneux, je tendais l’oreille, cherchant un son de sirène d’ambulance, mais qui ne semblait cependant pas venir. Et sans même jeter un coup d’œil au tee shirt qui pressait la plaie, je pouvais affirmer que celui-ci était imbibé de sang, et que la plaie ne s’arrêterait pas de saigner par l’opération du Saint Esprit. James avait raison, il fallait qu’on sorte le type de derrière le volant, avant qu’il ne finisse par se vider de son sang sur son tapis de voiture. Me penchant par-dessus l’inconnu, je regardais à l’arrière du véhicule, puis une idée me vint soudainement. « - Attend James, recule-toi. Tu peux lui maintenir la nuque s’il te plait ? » demandais je d’un air de dire que même si je demandais poliment, je ne lui demandais pas vraiment son avis. Lui lançant un regard insistant, j’attendais plus ou moins patiemment qu’il place ses mains de chaque côté de la nuque du jeune homme avec soin, puis une fois que j’étais sûre qu’il tenait son cou surement, je me contorsionnais difficilement jusqu’à atteindre la manette qui faisait reculer le siège conducteur, et appuyais dessus doucement, de façon à faire reculer le siège pour libérer les jambes de l’homme, qui laissa échapper un gémissement plus prononcé. Un coup d’œil à l’angle tordu de ses jambes me poussa à me montrer encore plus prudente, alors qu’un bruit sourd assez effrayant retentissait sous le capot, bruit qui n’augurait rien de bon. Posant mon regard sur le devant de la voiture, je fronçais les sourcils en voyant une fumée grisâtre commencer à s’en élever. Ignorant les battements de plus en plus forts de mon cœur, je retirais ma veste comme je le pouvais tout en pressant sur la plaie, et la déposais contre la nuque du jeune homme, pour la maintenir immobile, alors que j’ôtais les mains de James d’autour de son cou. « -Okay, là ça commence à craindre. James sort de la boutique ! Allez, dégage ! Tire toi! » dis je en le poussant sans ménagement, élevant un peu plus la voix. Si la voiture devait vraiment exploser, pas la peine de rassembler toute une foule autour du véhicule, moins nous serions à être dans le coin, et mieux ce serait. Poussant encore plus fort James pour l’éloigner, je désignais la sortie d’un signe de main, tout en lui lançant un regard noir, ou que je voulais tel, agrémenté d’un « dégage » on ne peut plus agréable. Me retournant vers la victime, je secouais la tête de droite à gauche en constatant qu’il ne respirait soudainement plus, et ma main tapotant sa joue, ce que je savais être parfaitement inutile, j’espérais pouvoir le réveiller naïvement. Mais rien n’y faisait, ses yeux restaient clos, et sa poitrine immobile. « -Non, non, non ! Hé ! Monsieur, restez avec nous ! Monsieur ! » dis je tout en lui tapotant la joue, avant de palper son pouls, que je ne trouvais cependant pas. Il manquait plus que ça, que ce type nous claque me plaque entre les pattes alors que je risquais de m’envoyer en l’air, littéralement parlant, pour essayer de l’aider. Jurant à voix basse et pestiférant contre la lenteur des services de secours, je faisais mentalement la liste des solutions à portée de main, et il fallait dire qu’elles n’étaient vraiment pas nombreuses. |
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