Finalement après plusieurs moi et une belle peau neuve, nous avons décidé de relancer l'aventure en espérant que vous serez la partie. Découvrez les nouveautés et amusez-vous |
| | Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? | |
| Auteur | Message |
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Invité
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| Sujet: Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? Dim 6 Mai - 14:54 | |
| •• Shiobban Amélia Stanburry •• • On essaie de se dire que la réalité vaut mieux que le rêve. On se persuade qu’il vaut mieux ne pas rêver du tout. Les plus solides d’entre nous, les déterminés s’accrochent à leurs rêves. Il arrive aussi qu’on se retrouve en face d’un rêve tout neuf qu’on n’avait jamais envisagé. Un jour on se réveille, et contre toute attente, l’espoir renaît, et avec un peu de chance on se rend compte, en affrontant les événements, en affrontant la vie, que le véritable rêve, c’est d’être encore capable de rêver. •
I am who I am
• Age : 24 ans • Date & Lieu de Naissance : 13 novembre 1987, Afrique du Sud • Spécialité : Interne aux Urgences • Année : 6 ème année • Groupe : Les esclaves • Situation : Célibataire • Sexualité : ♂♀
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And also a Player
• Age : 22 ans • Surnom : Mél • Fréquence de connexion : Pour l’instant 3/4 jours/semaine, mais après les cours tous les jours ! • Comment ? : C’est la faute à Darcy ! • Célébrité : Shay Mitchell • Code : Nee est dans la place • Autre ? : Juste merci pour l’accueil super sympa que vous m’avez réservé sur la cb! :travis:
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Dernière édition par Shiobban A. Stanburry le Ven 11 Mai - 12:10, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? Dim 6 Mai - 14:55 | |
| •• And this is who I am •• My Mind
••On a toujours dit de moi que j’étais une gamine souriante, curieuse de tout, une vraie bout en train. Je crois pouvoir dire que ça n’a jamais changé en grandissant, et aujourd’hui encore, après tout ce que j’ai pu voir durant ces six années de médecine, toute cette souffrance, cette peine, cette misère humaine, je pense être restée la même. Je suis toujours de bonne humeur, c’est comme si c’était plus fort que moi, même quand les choses vont mal, quand d’autres font preuve d’un pessimisme sans borne, moi je ne peux que me dire que les choses vont s’arranger, me rappeler qu’après la pluie vient le beau temps, et qu’il faut juste s’accrocher, et attendre que l’orage passe. On me voit le plus souvent avec un large sourire aux lèvres, même quand les choses ne vont pas aussi bien qu’il le faudrait. Il faut avoir un œil expert, ou me connaître vraiment très bien, pour savoir ce qui se cache réellement sous mon sourire.
Je vais facilement vers les gens aussi, et je n’ai aucun mal à faire la conversation à un illustre inconnu, j’ai le contact aisé. Mais ce n’est pas parce que j’ai le sourire aux lèvres, que je suis toujours de bonne humeur et que je parle facilement aux gens que je me crois dans un monde de bisounours, que je crois que tout le monde est beau, que tout le monde est gentil. Non, j’ai quand même du caractère. Si je parle facilement aux gens, je ne m’attache pourtant pas au premier coup d’œil, ou aux premiers mots échangés, et je n’accorde pas une confiance aveugle dès le départ. Je mets du temps à m’attacher aux gens, à accepter qu’ils apprennent à me connaître, moi, ma personnalité, mes petits secrets. Mais une fois que je tiens à eux, je ferais n’importe quoi pour qu’ils soient heureux.
Par contre, ne comptez pas sur moi pour les grandes déclarations, surtout en amour, j’ai la mauvaise habitude de m’enfuir en courant lorsque l’on me dit qu’on m’aime. Littéralement. Demandez à mes ex ! La confiance est quelque chose qui se mérite, et si jamais l’idée stupide vous viendrait de me trahir, et bien dommage pour vous, je ne suis pas une adepte des secondes chances. Si par contre, vous avez toute ma confiance, et que vous vous montrez à la hauteur, sachez que je serais prête à beaucoup pour vous, qu’il s’agisse d’une oreille attentive à toute heure du jour ou de la nuit, d’une fêtarde avec qui passer la soirée, ou d’une complice pour cacher un corps à 3h du mat’. Je suis comme ca moi, l’amitié c’est sacré, un point c’est tout. Je ne me confie pas facilement, et ma mère dit souvent que je suis un mystère à moi toute seule. Elle a peut être raison au fond…
Je ne parle pas facilement de ce que je ressens, de ce qui me fait peur, de ce que je ne maîtrise pas, non, je préfère cacher tous mes doutes, mes angoisses et déceptions derrière un sourire impeccable. Foutue carapace. J’ai toujours été une bonne élève, ayant toujours d’excellentes notes, et réussissant haut la main…sans vraiment passer beaucoup de temps le nez dans les bouquins. Je suis studieuse, c’est vrai, mais je ne vis pas que pour mes cours non plus. On m’a souvent décrite comme l’intello coincée sans vie sociale, lorsque j’étais plus jeune, et j’ai dépensé une énergie folle à prouver à tout le monde le contraire : je suis une vraie fêtarde, on peut compter sur moi pour danser jusqu’au bout de la nuit, ou pour faire n’importe quelle folie. J’adore me lever le matin, et me dire sur un coup de tête qu’aujourd’hui je prends ma voiture, et que je roule, sans destination précise, juste comme ça, pour changer d’air et voir autre chose.
Je suis quelqu’un d’assez spontané à vrai dire, peut être même trop parfois. Quand je pense quelque chose, j’ai tendance à le dire comme ça sort, sans forcément prendre de gants, et sans me montrer spécialement…douce et délicate. J’ai beau savoir que je suis trop directe, j’arrive jamais à faire ce truc stupide là…tourner ma langue sept fois dans ma bouche avant de parler. Je pense qu’une vérité qui fait mal vaut toujours mieux qu’un mensonge dit pour faire du bien. Je déteste l’hypocrisie et les faux semblants. Je crois même que j’y suis allergique !
Pourtant, si je suis spontanée, je ne suis pas pour autant inconsciente, ou irresponsable. Au contraire, cette spontanéité est l’une de mes armes les plus précieuses dans mes études, et notamment dans mon internat en médecine. En ce moment, je fais un stage aux urgences, et je sais déjà que c’est la spécialisation que je choisirais. J’aime cet univers stressant, cette montée d’adrénaline incroyable lorsqu’on nous amène un patient qui vient d’avoir un accident de voiture, cette poignée de secondes que l’on a pour prendre une décision, la bonne décision. Je sais que c’est la, dans cet univers angoissant, avec cette pression, cette tension qui règne dans les box, au milieu des cris déchirants, des larmes, de toute cette douleur qu’on parvient parfois à apaiser, que je veux travailler pour le reste de ma vie, et je sais que je me montrerais à la hauteur. Alors ce but en tête, je ferais tout ce qui faut pour l’atteindre, vous pouvez compter sur moi ! •• My Story
••Quand j’avais quatre ans, que ma mère avait un petit ventre tout rond, alors qu’elle était enceinte de Darcy, je pensais que la vie se limiterait à ces images qui faisaient mon quotidien, et que ce serait toujours ca. Les sourires tendres de mes parents l’un pour l’autre, mes éclats de rire quand ils me chatouillaient tous les deux sur le canapé, une glace à la vanille tous les dimanches après midi pendant qu’on se promenait tous les trois. Je pensais que ce qui unissait mes parents était un lien si fort, si puissant que rien ni personne ne pourrais jamais rien venir se glisser entre eux, les éloigner, ou les briser. Ils étaient faits l’un pour l’autre, ca crevait tellement les yeux que je savais qu’entre eux ca durerait pour toujours. On est quand même sacrément naïf à quatre ans. Après la naissance de Darcy, on a déménagé en Angleterre, où ma mère était née, et le mythe de l’amour parfait s’est effondré d’un coup. Il a suffit d’une déclaration d’amour de l’un des anciens amis de ma mère pour que tout parte en fumée. Je crois que ce n’est pas de voir mes parents se séparer qui m’a fait le plus de mal, mais de voir mon père abandonner si facilement sans même se battre pour sa femme…ou même ses filles. Il est retourné en Afrique du Sud, alors que Darcy et moi restions en Angleterre avec notre mère, et celui qui allait devenir notre beau père. Et si au début on voyait assez régulièrement notre père, aux vacances par exemple, ca n’a pas duré longtemps, et cela fait aujourd’hui bien longtemps que je n’ai pas eu la moindre nouvelle de lui, que je n’ai pas eu d’appel pour mon anniversaire, ou pire, celui de ma sœur qui l’a a peine connu. Ca me bouffe qu’elle ai du se passer d’un père aimant, mais je me dis que ma mère a bien choisi son remplaçant, et que notre beau père assure quand même pas au final. Il assure même plutôt bien.
Et puis après cet épisode un peu déstabilisant, la vie à simplement repris son cours…nouvelle famille, nouvelle école, nouveaux amis, et le quotidien reprend ses droits. J’ai grandi entourée de ma mère et de son nouveau mari, mais aussi des deux enfants que celui-ci avait déjà, et de la petite dernière qu’ils ont faite ensemble. C’était pas trop mal au final, pas aussi stable que ce qu’il m’aurait surement fallu, mais je n’ai pas eu à me plaindre, j’ai eu une enfance heureuse. Je n’ai jamais manqué de rien, même pas d’un père, puisque le nouveau mari de ma mère s’est montré brillant dans son rôle de beau père, et ce dès le départ. Il était là à chaque petit bobo, à chaque anniversaire, à chaque réunion parent/prof, à chaque veille d’interro de maths. Il était là, lui. J’étais une petite fille, puis une ado amusante, et amusée de tout, une gentille fille, comme on disait parfois, même si je détestais entendre cette expression à propos de moi. J’avais de bonnes notes, de très bonnes notes mêmes, et j’ai su tout de suite ce que je voulais faire de ma vie. Déjà étant petite, j’adorais soigner les petits bobos que mes quatre frères et sœurs se faisaient en jouant, ou lorsque ma mère se coupait en cuisinant. J’avais ça dans le sang qu’elle disait, et il semblerait qu’elle ne se soit pas trompée. Des fois, je la soupçonne d’être médium. Avec le rythme intensif que nous avons à l'hôpital, quand on rentre chez soi,on a qu'une envie, prendre une bonne douche, et dormir pendant au moins deux mois, le temps pour les sorties ou les loisirs est donc assez limité. Je ne peux pourtant pas m'empêcher quand j'ai quelques minutes à tuer de titiller les touches d'un piano, ou de chanter quelques petits trucs. Bon, je sais très bien que je deviendrais jamais Whitney Houston, mais au moins ça a l'avantage de me détendre! Je suis une grande sportive aussi, j’évacue toute la pression vécue au quotidien à l’hôpital en courant quasiment tous les jours, et en boxant dès que je peux. Ouai, ce n’est pas très féminin comme sport la boxe, mais qu’est ce que ça défoule !
C’est dont tout naturellement qu’une fois mon diplôme obtenu haut la main, mention Très bien à la clé, je me suis dirigée vers une faculté de médecine. J’y ai réussi ma première année non sans avoir travaillé dur, mais les efforts ont payés, puisque j’ai réussi ma première année, et toutes celles qui ont suivi. Mon externat c’est bien passé, et n’a fait que confirmé que je ne m’étais pas trompé de voie, et je suis actuellement interne au Saint James Hospital, à Londres. Il y a quelques mois, au moment de choisir notre futur stage d’internat, j’ai demandé à faire le mien en Afrique centrale, dans un centre humanitaire, ce que le directeur de l’hôpital a accepté. J’ai toujours voulu m’investir pour ceux qui n’avaient pas la même chance que moi, et j’étais heureuse qu’il puisse m’en donner l’occasion. Les deux premiers mois se sont très bien passés, même si au départ j’avais eu du mal à rester stoïque, professionnelle et détachée face à la misère omniprésente. Mais je m’étais faite une place, j’avais rencontré des médecins, internes ou titulaires, et des infirmiers venus des quatre coins du monde, et malgré ce qui c’est passé ensuite, je savais que j’allais en garder un bon souvenir. Une semaine après être rentrée au centre humanitaire suite à une petite mission dans un village voisin, j’ai commencé à me sentir mal, souffrant de nausées, d’une fatigue intense, de maux de tête répétés, je n’avais plus d’appétit, et un soir après une garde un peu agitée, j’avais fini par perdre connaissance. Les médecins présents ont préféré me faire des examens, puisque je ne voulais pas être hospitalisée, et cet état de santé que je pensais être du à un peu de surmenage, de fortes chaleurs et un manque d’hygiène dans certains villages était en fait plus que ça. On a soupçonné un paludisme, et en poussant un peu plus les examens et autres tests, les médecins ont détecté autre chose. Quelque chose d’un peu plus grave diront nous. Maladie d’Addison, ou insuffisance surrénale chronique primaire. Le nom est assez barbare, mais la maladie n’est pas aussi atroce que le nom le suggère. Enfin, tout est relatif. Pour une maladie rare, il a fallu qu’elle tombe sur moi, mais je préfère encore que ce soit sur moi plutôt que sur un membre de ma famille, ou l’un de mes amis. Je dois donc me trimballer maintenant en permanence avec une petite carte sur moi, indiquant ma maladie, au cas où je fasse une crise ou quelque chose comme ça. Du coup, je dois prendre des médicaments, à vie, faire attention à ma santé, toute infection pouvant entrainer de graves complications, et je dois éviter autant que possible le stress. Facile avec le boulot que je mène, hein ?
Je suis rentrée après les résultats de mes examens, et j’ai informé le responsable des internes de mon état de santé, puis j’ai repris ma vie comme avant mon départ pour l’Afrique, jeune interne pleine d’ambition. Pour ma santé, il me fallait un service calme, et où je ne serais pas trop bousculée d’après lui. Mais j’ai refusé. Je voulais les urgences, Addison ou pas. Je n’ai informé personne d’autre sur mon état de santé, pas même ma mère, ou encore Darcy de qui je suis très proche. J’avais même pensé ne jamais rentrer en Angleterre, ne plus revoir ma famille, parce que je ne voulais pas voir leurs visages déconfits et larmoyants après avoir annoncé que j’étais malade. Et me connaissant, je savais très bien que l’étincelle de pitié qui naitrait dans le regard des personnes au courant me mettrait hors de moi, et que je détesterais me faire materner. Mais en pensant à Darcy, à Thisbe, à toutes les personnes auxquelles je tenais à Londres, j’étais finalement rentrée, tout en cachant soigneusement mon petit secret.
J’ai eu du mal à ne pas perdre contenance face aux gens au début du moins, à ne pas me laisser abattre, à ne pas craquer, me rouler en boule sous ma couette, et pleurer toute la journée. Mais je n’ai pas pu, ou n’ai pas voulu, je ne sais pas trop. Je suis rentrée, et j’ai du prétendre que tout allait bien, reprendre ma vie d’étudiante, reprendre mes anciennes habitudes, alors ca ne laissait pas vraiment le temps pour m’apitoyer sur mon propre sort. Et puis, il faut dire que ce n’est pas mon genre non plus. Je suis du genre à me battre, jusqu’au bout, jusqu’à en perdre haleine, jusqu’à m’écrouler de fatigue. Je ne sais pas rendre les armes, même quand je devrais. J’ai quitté mon copain de l’époque, Hayden alors que tout allait très bien entre nous, vraiment très bien même, juste parce que j’avais peur de sa réaction, peur de voir son regard posé constamment sur moi dès que j’aurais été un peu pâle, ou fatiguée. Pourtant, je savais très bien qu’il aurait assuré, qu’il aurait été parfait même. Je crois que je me disais aussi qu’il ne méritait pas de se trainer un boulet malade pour copine, ou j’avais peur que si un jour il perdait ses sentiments envers moi, il n’oserait pas me quitter parce qu’il estimait que j’étais malade et que j’avais besoin de lui, ou que je lui faisais pitié. Et puis, je commençais sérieusement à avoir des sentiments pour lui. Je dois être un peu lâche sur les bords, au final…
Je suis aujourd’hui en sixième année, en plein internat aux Urgences, ce que j’adore franchement, malgré la fatigue, les nausées et vomissements, les chutes de tension, et tout le blabla. Je me sens utile là bas, et j’ai compris que c’est la que doit être ma place, alors j’en ferais ma spécialité. Tout se passe bien pour l’instant, j’arrive à gérer études, familles, amis…et maladie. Je n’ai toujours pas mis mes proches au courant de ma situation, et seule une poignée d’amis sont au courant de ce qui m’arrive, et je dois dire que malgré la peur qui me tordait le ventre à chaque fois que j’ai eu à le dire, leurs réactions a été parfaite, loin du cauchemar auquel je m’attendais, du coup, je me dis que je pourrais peut être en parler à d’autres…a ma mère, ou à Darcy par exemple. Mais j’ai tellement peur de sa réaction que je ne fais que reculer l’inévitable. Pourtant, il faudra bien se lancer un jour…peut être au repas tout à l’heure, ou demain,…ou dans une semaine. Affaire à suivre ! ••
Dernière édition par Shiobban A. Stanburry le Jeu 31 Mai - 16:01, édité 3 fois |
| | | Invité
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| Sujet: Re: Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? Dim 6 Mai - 15:52 | |
| Welcoume belle soeur *se prend une brique en pleine face* ! J'aime beaucoup ta citation qui me dit quelque chose d'ailleurs (: ! Brefouille, j'arrête de dire nawak ! Encore bienvenue chez les fous |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? Dim 6 Mai - 16:22 | |
| Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche! :simon: |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? Dim 6 Mai - 16:23 | |
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| | | Gabriel M. Llewelyn
Messages : 1248 Date d'inscription : 23/02/2012 Age : 36
| Sujet: Re: Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? Dim 6 Mai - 16:32 | |
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| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? Dim 6 Mai - 19:36 | |
| SSSMARRRRRTIIIIIIIIZZZZZZZZZ :travis: Bienvenue sur le forum, si tu as des questions tu n'hésites surtout pas et bonne chance pour ta fiche !! ET UN GROS BISOUS A MA NOUVELLE SOEUR !! :nanah: |
| | | Destiny F. Abernathy
Messages : 988 Date d'inscription : 24/02/2012 Age : 29
| Sujet: Re: Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? Lun 7 Mai - 0:38 | |
| SHI <3 Bienvenue à toi, si tu as des questions, n'hésite pas =D |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? Lun 7 Mai - 10:38 | |
| Wow, merci à tous pour votre accueil!! :travis: Ca fait plaisir! ^^ This > Sympa ta signa! (a) |
| | | Destiny F. Abernathy
Messages : 988 Date d'inscription : 24/02/2012 Age : 29
| Sujet: Re: Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? Lun 7 Mai - 11:01 | |
| Thanks Je l'ai vu et j'ai fait ennnnnh xD |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? Lun 7 Mai - 17:41 | |
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| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? Lun 7 Mai - 18:29 | |
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| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? Jeu 10 Mai - 17:30 | |
| Bienvenue en retard ! |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? Jeu 10 Mai - 18:39 | |
| Merci! EDIT: Finiiiiiiiiii!!!!!!!!!! |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? Jeu 10 Mai - 19:35 | |
| • Félicitations petit PEPITOS •
Te voilà validé à ton plus grand malheur !! Vindiou ! Viens par là j'ai tout un blabla à te faire ! • N'oublies pas petit padawan de vérifier que ton avatar est bien mit dans le bottin, si ce n'est pas le cas mpotte un admin ! • Penses à aller demander ton logement ou ta chambre U : ICI • Penses à aller faire ta fiche de liens et ta fiche de rp surtout ! On est là pour ça après tout ! • Fais nous de la pub sur PRD, BAZZART, et sur les tops sites On vote ! • Et surtout passe un agréable moment parmi nous ! :french: On t'aime sauvagement ! SJ Dream Team |
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| Sujet: Re: Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? | |
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| | | | Shiobban Stanburry || Ca te dit, 20 minutes sans sentiments? | |
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